Photographie : autres événements à venir
Bénédicte Bailly
Vernissage le 22 mai à 18h30. Avec l’Hôpital de Jour Pussin, la photographe Bénédicte Bailly a mis en œuvre un projet photographique autour de l’imaginaire qui se développe lorsque l’on est hospitalisé dans un site comme le Vinatier, afin de consigner toutes les petites histoires de ses patients.
Ces motifs qui habillent
En associant des photographies de façades d'immeubles de la Part-Dieu prises par Nicolas Fussler et des motifs des tissus présentés dans des ouvrages destinés à éduquer le regard des techniciens du textile, cette exposition crée un dialogue entre deux formes artistiques très présentes dans l'histoire lyonnaise.
ParfoisJeFaisDesImages
En tant que danseur et photographe amateur, ParfoisJeFaisDesImages explore l’émotion à travers l’élan des corps au milieu du bitume pour créer une exposition photo où la danse l'architecture et le mouvement jouent la même partition.
Alice Bertoye
À travers l’installation, la photographie et le dessin, la nouvelle exposition d'Alice Bertoye, nommée Storage Wars, explore le processus de dépouillement des containers que des personnes achètent dans le but d'en tirer un profit.
Dilettante de jour
Vernissage le 12 juin à 18h. Cette nouvelle exposition de la galerie Tator réunit les travaux de la designer textile Amélie Charroinet du peintre Romain Bobichon alors que les travaux de la première semblent de plus en plus s’émanciper du support textile et que le second travaille à l’écriture d’une pièce poétique ayant pour sujet la couleu.
Damien Rouxel
Vernissage 12 juin à 18h. Dans son travail, Damien Rouxel se réapproprie l'univers paysan dans lequel il a grandi, et y met en scène sa famille pour questionner le genre, l’animalité, la construction identitaire, les hiérarchies, la figure du monstre et l’Autre à travers la photographie, la vidéo, la sculpture, l'installation et la performance.
Philippe Chancel
Vernissage le 15 mai à 18h30. Pendant trois ans, Philippe Chancel a documenté la vie courante dans sept pays francophones d’Afrique de l’Ouest en la travaillant de façon non-extractive, c'est-à-dire en immersion, sans chercher à faire ressortir un sujet en particulier. Les signes apparaissent donc, sur les enseignes, les vêtements, dans les gestes, et s'offre à l'objectif du photographe.