Un édito pour Driss Bouayad

Édito du n°1085 - mercredi 21 février 2018 - Petit Bulletin Grenoble

« Un frère, un ami, un mentor, un mari, un partenaire. Un rire, une force, une âme, une énergie, une gueule. Un humaniste, un visionnaire, un artiste, un meneur, un amoureux de la vie. » Et pour nous qui travaillons au Petit Bulletin depuis des années (voire sa création en 1993), un véritable compagnon de route. Nous l'avons ainsi souvent côtoyé, dans des cadres formels (reportage, interview, partenariat…) comme d’autres beaucoup moins formels (des grosses soirées par exemple), et il était toujours très agréable d'échanger avec cet homme on ne peut plus accessible.

Début février, nous avons appris la mort de Driss Bouayad, figure du milieu culturel grenoblois puisqu'en 2001, il a fondé avec d'autres l'association Hadra, très branchée trance psychédélique. Un type bien comme il est coutume de dire (et d'écrire) pour parler des types vraiment bien – une expression qui nous est tous venue naturellement lorsque nous avons appris la nouvelle.

« Driss est devenu un guide pour tous ceux qui croisaient sa route et ce bien au-delà de la trance. Il était dévoué, vibrait de bonne humeur et de vitalité, au caractère bien trempé mais humble et bienveillant » a également écrit l’association Hadra sur son Facebook quelques jours après l’annonce du décès de celui qui a joué sur les plus grandes scènes trance du monde. C’est exactement ça. Aujourd’hui, nous pensons donc fortement à Driss, et adressons également toutes nos condoléances à ses proches, au sens très large du terme vu l’éclat qu’avait le bonhomme.

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