Lundi 5 octobre 2009 La jeune association Terre Mythe s’évertue à faire (re)connaître le didgeridoo, aidée dans cette tâche fastidieuse par une association amie spécialisée dans la jonglerie, Argument Massue… tout un programme ! Laetitia Giry
Des vibrations violentes et envoûtantes de didgeridoo sont à prévoir vendredi 15 mars à 20h30, à l'Espace vie étudiante (Eve) du campus. Le groupe « multicolore et énergique » Djemdi viendra faire résonner son dernier album L.O.V.E.3.0. Dans la lignée de leurs deux premiers opus, les titres des morceaux prennent des noms de couleur (Ébène, Rubis...) et transportent l'auditeur dans un long voyage des sens. Des tonalités un peu plus électro font leur apparition, mais la part belle est toujours assumée par cet instrument étrange cher aux aborigènes, bien balancé par des percussions entraînantes et une basse chirurgicale. Kéké, membre du groupe, déclarait en 2008 dans nos colonnes être « surexcité à cause de l'oxygénation » que provoque un long set de didgeridoo. En 2013, il n'a rien perdu de son souffle : à cheval entre le bush australien et la savane africaine, Djemdi offre toujours une carte postale musicale étonnante qui saura faire bouger n'importe quel corps, même le plus réfractaire.
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