Cinéma : autres films
sortie nationale : Mercredi 15 août 2018

Capitaine Morten et la reine des araignées

De Kaspar Jancis (Est, Irl, Bel, 1h15)

Destination Pékin !

De Christopher Jenkins (Chin-ÉU, 1h31) avec Éric Antoine, Jim Gaffigan...

Equalizer 2

De Antoine Fuqua (ÉU, 2h01) avec Denzel Washington, Pedro Pascal...

Eté précoce

De Yasujirô Ozu

Gold

De Reema Kagti

Il se passe quelque chose

De Anne Alix (Fr, 1h43) avec Lola Dueñas, Bojena Horackova...

Il se passe quelque chose

De Anne Alix

L'Age d'or des ciné-clubs

De Emanuela Piovano

Le Monde est à toi

De Romain Gavras (Fr, 1h34) avec Karim Leklou, Isabelle Adjani...

Notre avis : Une symphonie ludique flashy et syncopée qui découle autant du film de genre "soderberghisé" que de la réunion de bras cassés "guyritchiques". Et, surtout, un thriller pimpé en récréation bariolée pour enfants pas sages qui possède, outre un rythme soutenu et une image canon, un argument de poids dans son interprétation plaçant (enfin) Karim Leklou aux avant-postes. Face à lui, Oulaya Amamra confirme que Divines n'était pas un météore, tandis que Vincent Cassel joue les hommes de main ductiles et que l'on savoure la si rare Isabelle Adjani.

Le Père d'Italia

De Fabio Mollo (It, 1h32) avec Luca Marinelli, Isabella Ragonese...

Odol Gorri

Papillon

De Michael Noer (ÉU, 1h57) avec Charlie Hunnam, Rami Malek...

Printemps tardif

De Yasujirô Ozu

Sur la plage de Chesil

De Dominic Cooke (ÉU, 1h50) avec Saoirse Ronan, Billy Howle...

Tombé du nid

Ultra Rêve

De Bertrand Mandico, Yann Gonzalez (Fr, 1h22) avec Lucas Domejean, Nicolas Mias...

Under The Tree

De Hafsteinn Gunnar Sigurðsson (Isl, 1h30) avec Steinþór Hróar Steinþórsson, Edda Björgvinsdóttir...

Une Valse dans les allées

De Thomas Stuber (All, 2h) avec Sandra Hüller, Franz Rogowski...

Notre avis : Ce portrait d'un groupe d'employés d'un "géant" (au sens de Le Clezio) en raconte autant sur le monstre vorace où se situe l'action (un puits sans fond dont il faut inlassablement charger les rayonnages et les étals, dévorés par des meutes de clients ; où il faut purger vers les poubelles les produits menacés de péremption) que sur les protagonistes chargés de ces besognes. Thomas Stuber suit avec une tendresse manifeste le parcours de ses personnages, gens ordinaires physiques du quotidien. Cela mérite d'être souligné quand, chez certains, l'empathie est de façade.