Cannes, jour 3 : enfance et partage
Stop the pounding heart de Roberto Minervini. Tel père, tel fils d'Hirokazu Kore-Eda. L'Inconnu du lac d'Alain Guiraudie.
Stop the pounding heart de Roberto Minervini. Tel père, tel fils d'Hirokazu Kore-Eda. L'Inconnu du lac d'Alain Guiraudie.
Pour son premier film tourné hors d'Iran, Asghar Farhadi prouve à nouveau qu'il est un des cinéastes importants apparus durant la dernière décennie. Mais ce drame du non-dit et du malentendu souffre de la virtuosité de son auteur, un peu trop...
Pour son premier film tourné hors d'Iran, Asghar Farhadi prouve à nouveau qu'il est un des cinéastes importants apparus durant la dernière décennie. Mais ce drame du non-dit et du malentendu souffre de la virtuosité de son auteur, un peu trop...
"Stop the pounding heart" de Roberto Minervini. "Tel père, tel fils" d'Hirokazu Kore-Eda. "L'Inconnu du lac" d'Alain Guiraudie.
Pour son premier film tourné hors d'Iran, Asghar Farhadi prouve à nouveau qu'il est un des cinéastes importants apparus durant la dernière décennie. Mais ce drame du non-dit et du malentendu souffre de la virtuosité de son auteur, un peu trop...
"Stop the pounding heart" de Roberto Minervini. "Tel père, tel fils" d'Hirokazu Kore-Eda. "L'Inconnu du lac" d'Alain Guiraudie.
Le festival de Cannes a à peine commencé, et il est déjà temps de pointer les déceptions et les bonnes surprises de sa sélection qui, une fois n'est pas coutume, ne sont pas là où on les attendait.Christophe Chabert
Jeune et Jolie de François Ozon. The Bling ring de Sofia Coppola. A touch of sin de Jia Zhang-ke.
"Jeune et Jolie" de François Ozon. "The Bling ring" de Sofia Coppola. "A touch of sin" de Jia Zhang-ke.
"Jeune et Jolie" de François Ozon. "The Bling ring" de Sofia Coppola. "A touch of sin" de Jia Zhang-ke.
Heli d'Amat Escalante
Heli d'Amat Escalante
"Heli" d'Amat Escalante
Difficile de passer à côté de la "Jacques Demy-mania" qui semble s'être emparée de la France depuis deux mois - et l'ouverture d'une grande exposition à la (...)
Cinéaste de l'imagerie pop, Baz Luhrmann surprend agréablement en trouvant la puissance romanesque nécessaire pour transposer le Gatsby de Fitzgerald. Et trouve en Di Caprio un acteur à la hauteur du personnage. Christophe Chabert
Cinéaste de l'imagerie pop, Baz Luhrmann surprend agréablement en trouvant la puissance romanesque nécessaire pour transposer le Gatsby de Fitzgerald. Et trouve en Di Caprio un acteur à la hauteur du personnage.Christophe Chabert
Cinéaste de l'imagerie pop, Baz Luhrmann surprend agréablement en trouvant la puissance romanesque nécessaire pour transposer le Gatsby de Fitzgerald. Et trouve en Di Caprio un acteur à la hauteur du personnage.Christophe Chabert
De quoi le 66e festival de Cannes (du 15 au 26 mai) sera-t-il fait ? Les films français et américains trustent majoritairement les sélections, les grands cinéastes sont au rendez-vous de la compétition et les sections parallèles promettent...
De quoi le 66e festival de Cannes (du 15 au 26 mai) sera-t-il fait ? Les films français et américains trustent majoritairement les sélections, les grands cinéastes sont au rendez-vous de la compétition et les sections parallèles promettent...
Loin du prêchi-prêcha habituel sur le conflit israélo-palestinien, Yariv Horowitz aborde la question de l'Intifada à travers un pur film de guerre, retenant la leçon de Fuller et Kubrick. Un premier film extrêmement prometteur. Christophe...