«L'art est toujours un combat»

Vendanges graphiques

Salle de l'Arbuel

ce spectacle n'est pas à l'affiche actuellement

Compagnon de route de Mœbius, Philippe Druillet est une légende de la bande dessinée. Mais derrière le faiseur de mondes se cachait un petit garçon rongé par la honte d'être né de parents fascistes. Il la conjure dans "Delirium", passionnant manifeste artistique déguisé en règlement de comptes. Entretien avec un rescapé, invité surprise du festival Vendanges Graphiques. Benjamin Mialot

Pourquoi solder ce lourd héritage maintenant ?

Philippe Druillet : J'ai fait ce livre... Enfin, nous l'avons fait, avec David Aliot, qui a eu un talent sublime pour transcrire en langue française le discours de Druillet, qui peut parfois être vulgaire dans ses propos, et pour rendre le karma d'un individu comme moi. Je ne suis pas le seul, il y en a des millions. Mais je n'ai jamais connu la paix de ma vie. Ça a toujours été la passion et la destruction. Et putain, j'en ai ras le cul, mais ce sera comme ça jusqu'à la fin de ma vie. Je l'ai fait pour une simple et bonne raison : c'est parce que je trouve qu'en ce moment, dans ce pays, ça pue, OK ? J'ai trimballé ça pendant des années, jusqu'à la mort de ma mère, il y a cinq-six ans, qui adorait Adolf Hitler...Dans le même temps, j'ai été harcelé par Monserrate Pérez Lopez, qui a fait un documentaire plusieurs fois primés sur mon père et m'a couru après pendant trois ans pour m'interviewer. J'ai fini par accepter, ça m'a replongé dedans. Et voilà que les éditions des Arènes disent «ce serait bien que Druillet raconte sa vie». Je me suis dit «ça sent le sapin, merci, vous pouvez y aller». Au départ, ils voulaient que je le fasse en bande dessinée. Sauf que moi, je n'ai pas le talent d'un Tardi, mon travail est complètement différent. Donc on m'a présenté quelqu'un qui ne connaissait strictement rien ni à la bande dessinée ni à mon boulot. Et c'était la bonne idée. Une chose très importante m'a touchée : des gens achètent Delirium et se disent : «qui c'est ce mec, il est fou à lier, j'ai envie de voir ce qu'il a fait». Et de l'autre côté, depuis quarante ans, ceux qui aiment mon boulot me disent : «on ne vous connaît pas». Ce lien entre les deux est absolument prodigieux. 

Pour le coup, ils sauront tout, puisque vous ne faites mystère d'aucun épisode, y compris les plus psychédéliques...

Je suis un survivant. La mort de Lou Reed m'a beaucoup touchée. Ma grand-mère me disait : «quand tu auras un certain âge, tu verras tes amis disparaître». C'est vrai, sauf que nous, la génération rock'n'roll, nous avons été sacrés par les médias comme des gens immortels. Moi, j'ai tout enchaîné. Je suis un miraculé. Mais je ne regrette rien. Quand on a la haine contre quelque chose, et Freud a largement écrit là-dessus, ça veut dire qu'il y a encore de l'amour caché. Je me suis tapé de l'héroïne pendant des années, c'était un calmant. Mais je tiens à insister sur un point : t'es con, tu prends de la drogue, tu restes con. Ça n'a jamais donné du talent à qui que ce soit. Par contre la coke m’aidait à tenir longtemps, à travailler. Ça accélère le processus d'écriture aussi, ça aide à faire sortir ce qu'on a en soit. J'ai toujours été un toxico, je ne m'en vante pas. Chacun sa merde. Je suis en tout cas agréablement surpris : je n'ai reçu qu'un seul message d'insulte pour le moment. Je reçois énormément de témoignages qui vont dans mon sens. C'est quelque chose qui m'épate. Normalement, quand on déclenche une bombe, car quelque part, sans prétention, ce bouquin est une bombe, ça amène de la contradiction, de la haine, de la violence... Mais attention, dedans, il n'y a pas que les origines de Druillet. Il y a aussi quarante ans d'un combat, qui n'est pas uniquement le mien, pour la bande dessinée, cet art pour débiles, pour la faire respecter comme n'importe quelle autre forme d'expression de qualité.

Justement, c'est surprenant de vous entendre vous dire incapable de vous raconter en BD. Vous l'avez déjà fait, avec La Nuit, bien sûr, et avec l'album Chaos, dans lequel Lone Sloane, votre personnage fétiche, affronte un double futuriste auquel il ne veut pas ressembler...

Bien sûr, il ne veut pas ressembler à son père. Je le fais de façon inconsciente parce que je suis medium. Sloane ce n'est pas moi, c'est mon totem. Pour le reste, oui j'ai fait des choses violentes. Mais pourquoi j'ai fait La Nuit, ça je tiens à le répéter jusqu'à ma mort, c'est parce que j'ai pensé : «si la bande dessinée est un art adulte, si nous avons enfin conquis un espace comme les impressionnistes se sont battus contre les académistes...», et c'est un combat, l'art est toujours un combat, on a le droit de parler de la mort. Les plus grands musiciens, artistes, écrivains, les Rimbaud, les Verlaine, Gustave Mahler quand il a perdu ses filles, l'ont fait. A l'époque tout le monde m'a mis en garde : «mais tu es fou, ça ne se fait pas ça». Je voulais simplement rendre hommage à la femme avec laquelle je m'étais construit avant de me reconstruire plus tard moi-même. Il fallait le faire. Étonnamment, cet album est celui qui se vend le mieux. Pourtant, au début, on s'est dit qu'on allait à la cata. Quand a démarré Métal Hurlant, on n'avait pas d'argent, on était un groupe de rock, une bande de cinglés. Quand Dionnet a été voir les banques en disant «on veut faire un truc de science-fiction avec Druillet et Giraud», elles ont répondu «on le connaît Giraud, mais dans le western». Alors j'ai dit à Dionnet : «la première couverture ce sera Jean, pour montrer qu'il sait faire ça, et moi je ferai la deuxième». Voilà en gros l'histoire.

Elle ne s'arrête pas là...

Le reste, c'est quatorze faillites, des délires, du bordel et le fait que Métal Hurlant est devenu un courant artistique, un mouvement, comme le surréalisme, Dada ou Cobra, qui a essaimé dans la planète entière. Et ça nous le devons à Jean-Pierre Dionnet, un rédacteur en chef qui avait compris cette réflexion intelligente qu'a fait Goscinny quand je suis rentré chez Pilote : «il y a des choses que je ne comprends pas mais dont je sens la valeur». Maintenant nous sommes en salle des ventes, dans des musées, des rétrospectives. Nous avons notre place. Je suis né avec la bande dessinée américaine d'avant-guerre et d'après-guerre, mais je suis un adorateur de l'école belge. Plus grand artiste que Franquin, pour moi, ça n'existe pas. Uderzo, prodigieux. Hergé, prodigieux. Tous ces gens ont bâti quelque chose. Mais il a fallu se battre. Je me faisais insulter parce que je lisais Hara-kiri et Pilote. J'ai conscience depuis mon adolescence que la bande dessinée est un art majeur. Quand j'ai rencontré Jean-Claude Forest, qui est resté jusqu'à la fin de sa vie un de mes meilleurs amis, quand j'ai vu arriver Barbarella, je me suis dit «voilà la bande dessinée moderne». Le seul défaut, c'est que c'était chez Losfeld, donc réservé à un petit ghetto culturel. Il fallait que la bande dessinée progressiste soit dans un support public, et ça René Goscinny l'avait très bien senti. C'était le rêve Pilote. Je n'ai fait qu'un bouquin chez Losfeld, c'est mon Tintin au Pays des soviets. Il y a du Druillet dedans, mais bon... Voilà l'histoire de Philippe Druillet. Même si je fais de la sculpture, même si j'ai bossé dix ans comme décorateur pour Benjamin de Rothschild, je reste un homme de bande dessinée. D'ailleurs, après Salammbô, je vais m'attaquer à Dante.

La Divine comédie ?

Oui, ou l'art de se foutre dans la merde. Là, c'est du sérieux, ésotérique, tout le bordel. Je suis un enfant de Gustave Doré, mais je ne peux pas faire du Gustave Doré. Je n'en ai pas le talent. Je vais le transposer à ma manière. Et le personnage de Dante, comme Matho de Salammbô, sera remplacé par Sloane, parce que j'ai besoin de ce pivot. Je ne comprends pas pourquoi, mais il faut laisser l'artiste faire le crétin, se laisser porter. Ce sera sans doute ma dernière BD.

Vous aviez la sensation d'être un iconoclaste quand vous avez débuté ?

Non mais attendez, c'était pire que ça ! J'étais un débile mental ! Aimer la bande dessinée, aimer la littérature de science-fiction, aimer le cinéma fantastique : débile mental ! J'étais un crétin ! Je me faisais foutre dehors par les éditeurs à coups de pompes dans le cul. J'avais la rage. J'ai connu Goscinny en 64, j'étais à l'armée. Il me dit en gros : «vous n'êtes pas encore prêt, et moi non plus, mais j'ai un projet». Si des gens comme moi existent, c'est grâce à Astérix. Si la série n'avait pas eu ce succès, avec tout le pognon que ça a ramené - et c'était légitime parce qu'ils en ont chié comme des malades - René Goscinny n'aurait pas pu dire : «je suis le patron, j'imprime, j'édite ce que je ne comprends pas mais où je ressens un univers». C'est grâce à Astérix que j'existe, je le dirai jusqu'à la fin de ma vie. Pour l'intime, la famille de tarés, de salauds, d'assassins, et encore je suis modeste dans mon discours, moi j'y suis pour rien, j'étais bébé, j'étais soigné par le docteur Céline. Mais dansDelirium, je le répète, il n'y a pas que ça. Il y a tout mon combat. Mais c'est dommage d'être né dans une famille de cons.

Comment la BD a infiltré cette «famille de cons» ? Ce n'est pas un contexte favorable à l'accès à la culture...

J'étais effectivement dans une famille totalement inculte. Je suis un miraculé. J'étais fait pour monter des bagnoles à l'usine – ce qui n'est absolument pas une insulte. Il y a eu des miracles, des rencontres, des passeurs... J'ai fait des tests de Rosarch, je voyais déjà des vaisseaux spatiaux. On me disait irrécupérable. Quelqu'un a dit qu'on pouvait peut-être faire de moi un photographe. J'ai débuté comme apprenti, j'ai appris le cadre, la lumière... Je me rends compte aujourd'hui que pendant toute ma vie, j'ai vengé ma grand-mère, qui comme beaucoup de gens à l'époque était une femme de maison, une gamine née dans la campagne qui a commencé à bosser à l'âge de douze ans et a été humiliée pendant toute sa vie. Ça je ne le supportais pas ! Encore aujourd'hui j'ai de l'émotion quand j'en parle. A l'adolescence, je découvre Lovecraft, K. Dick, Bradburry et compagnie et là je sais que j'ai une destinée. L'artiste doit être novateur, quel que soit le prix à payer. A l'âge de douze-treize ans, j'allais au Musée du Louvre, au Musée de l'homme... Je sors d'une famille qui vit dans une loge de concierge de merde, pourquoi aller voir des expositions ? Parce que j'ai quelque chose en moi qui me pousse vers la culture. On doit s'adapter et doit se faire accepter par la société dans la quelle on vit. Avoir la certitude... Non, pas la certitude, car le doute est en moi. Il est moteur. Y a que les cons qui sont sûrs d'eux. Il faut avoir sa vision du monde. 

Finalement vous avez toujours été un marginal, d'abord par contrainte idéologique et sociale, puis par choix...

C'est ce que j'ai cru. Dans le même temps, je me disais qu'il n'était pas possible que je sois le seul à penser ce que je pense. Dans un pays comme la France, qui vénère Proust, Sartre et Godard, je croyais aller au massacre. Et bien non. Je vis de mon travail depuis quarante ans, parce qu'il y avait toute une génération qui avait besoin de quelque chose de nouveau. Les précurseurs, ce sont les écrivains de SF : K. Dick, Ballard, Bradburry et j'en passe. Nous nous sommes inspirés de cette littérature et ensuite le cinéma fantastique s'est inspiré de nos dessins. Le problème, c'est que la critique française, la Nouvelle vague de mon cul, méprisait la SF. Les États-Unis étaient beaucoup plus ouverts, dans tous les journaux il y avait une double-page de bande dessinée, Little Nemo et compagnie. Tout d'un coup, une bombe atomique est tombée dans la culture française : c'était monsieur Stanley Kubrick qui faisait 2001. Les intellectuels qui avaient le pouvoir l'ont eu dans le cul. Ils ne pouvaient pas attaquer un mec comme ça. Là, ça bascule, nous prenons le pouvoir, dans le sens noble. Nous sommes enfin écoutés. Voilà quoi, l'art est un combat. Avec soi-même et par rapport aux autres. A ma première parution dans Pilote en 69, l'avalanche de courriers a été hallucinante. On a senti qu'il y avait une génération qui avait besoin d'une autre culture. Il ne faut pas oublier que la bande dessinée et le rock sont intimement liées. Le plus fou c'est que la plupart des gens qui daignaient la littérature populaire méprisable s'en inspiraient. J'ai vu une émission sur le pop art récemment. Un peintre disait «nous nous sommes inspirés de ce qui était vulgaire et commercial» et il cite notamment la bande dessinée. On les emmerde aujourd'hui. On est dans les musées, on les emmerde. Allez à la FIAC un jour, demandez un autographe à un peintre, il vous crache à la gueule. Nous on va dans des festivals et on passe des journées entières à faire des dessins pour les gens qui nous aiment, et c'est normal. La bande dessinée est un moyen d'expression moderne, intelligent, créatif et très beau.

Quels auteurs actuels vous font dire ça ?

Christian Blain... Blutch est un génie absolu... Johann Sfar, même s'il la ramène un peu trop dans les médias, il finira par présenter la météo... Riad Sattouf aussi. Dans trente ou quarante ans, les sociologues, s'ils existent encore, se pencheront sur La Vie secrète des jeunes. Il y a moins de fous graphiques à la Druillet, à la con quoi, ce qui n'est pas un mal, il faut l'avouer, mais un renouveau s'installe. La mémoire et le talent sont là. Et en face, il y a l'art officiel. Le problème, c'est que quand vous interrogez sur certaines choses que vous ne comprenez pas, même sans haine, on vous traite de fasciste. C'est toujours le XIXe siècle. C'est toujours le même combat. Et dans les siècles à venir... Bon, ça je n'y crois pas vraiment. Je crois peu à l'avenir de l'humanité dans les conditions actuelles.

Vous êtes auteur de science-fiction jusque dans votre pessimisme...

Tout à fait. Avant j'étais un pessimiste optimiste. Maintenant je ne le suis plus du tout. Comment expliquer ça, je ne suis pas philosophe... Je suis un artiste, un pauvre con. Pendant des siècles, c'est Cavanna qui l'a dit, les êtres humains ont vécu sur Terre en faisant caca par terre et n'ont jamais attaqué le sol, nous on est en train de piller la planète. Et un jour elle va se venger, car c'est un organisme vivant. Je ne crois pas au futur. Je ne donne même pas cinquante ans à l'espèce humaine. Quand je pense qu'on est en train de piller des réserves pour foutre une saloperie dans un portable... En même temps, j'ai des potes dont la vie a été sauvée par un téléphone, mais quand je vois des crétins se coucher à quatre heures du matin devant une boutique parce qu'il y a un 4G qui sort et qu'ils vont se faire niquer parce que le lendemain il y aura mieux... C'est n'importe quoi. Nous sommes dans un changement de société. Et malheureusement, les changements de société ne se font jamais dans le calme. Je crains le pire.

Philippe Druillet
Au festival Vendanges Graphiques à Condrieu, samedi 12 avril
A la librairie Le Bal des Ardents, jeudi 24 avril

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