Jeudi 29 juin
Danse |
Chorégraphe fétiche de l’Opéra de Lyon, l’Américain William Forsythe est à nouveau à l’honneur par le Ballet qui (re)présente trois de ses pièces phares : le quatuor anatomique et complexe N.N.N.N. (2002), le profond et mélancolique Quintett (1993) sur la musique de Gavin Bryars, et l’époustouflant de vélocité et de virtuosité One Flat Thing, reproduced (2000). Une quinzaine de danseurs y sont presque littéralement projetés au milieu d’un labyrinthe composé de grandes tables, se déplaçant entre, ou en-dessous, au-dessus, avec une précision à couper le souffle !
Tarif : de 10€ à 40€
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Vendredi 30 juin
Festival |
Dans les Monts d’Or s’ouvre une nouvelle édition du très rock Horse Field Festival. Si vous ne connaissez pas You Said Strange, précipitez-vous dans ce petit festoche. Si la couleur est plutôt locale, You Said Strange, eux, viennent de Normandie. Et un peu aussi d'Amérique puisque leur album a été produit par le guitariste des Dandy Warhols et que plusieurs médias US encense ce mélange de shoegaze et de pop psyché. Aux côtés également de Venin Carmin, The George Kaplan Conspiracy, The Mogs ou Fontanarosa. Miam.
Tarif : 11€
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Vendredi 30 juin
Cultures maghrébines |
L'équipe d'AZUL (collectif émergent d'artistes) organise son premier événement approche toi de mon cœur, né d'une volonté de visibilisation, de (re)valorisation et de partage des cultures maghrébines à travers les arts : concerts, expositions, dj set, bande dessinée, photo, lectures, boissons, nourritures… s’invitent à une grande fête au Grrrnd Zero de 18h à 1h. Parmi les artistes organisateurs, l’auteur, illustrateur, et podcasteur Salem que nous avions reçu cette année dans Nouvelle Tête
Tarif : prix libre
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Vendredi 30 juin
Clubbing |
Le Sucre a 10 ans ce week-end. Et, comme pour les 20 ans de Nuits sonores, Arty Farty ne fête pas les choses à moitié. 48h de programmation artistique dans le club, c’est du quasi jamais vu pour un établissement de ce type en France. À l'intérieur ou sur la terrasse, à n’importe quel moment, il suffira de se pointer pour écouter un DJ set, participer à des jeux, faire son yoga, ou prendre son petit dej à l'aube. Mais surtout, de la musique.
Tarif : selon créneau horaire
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Vendredi 30 juin
Stand-up |
Cette fois, c’est la bonne. Après avoir reporté la date de son spectacle, Lou Trotignon joue enfin sur la scène du Complexe. Avec Mérou, l’artiste nous fait vivre la véritable épopée de sa transition. Assigné femme à la naissance, il raconte avec humour la découverte de son identité, de la prise de testostérone jusqu’à la rencontre du milieu queer. Le mérou change de genre, alors pourquoi pas Lou ?
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Samedi 1er juillet
Jazz |
Ce sont deux générations de soulmen qui se côtoient sur la scène de Jazz à Vienne, ce soir. Deux identités musicales et géographiques aussi. L'Amérique avec le vénérable Lee Fields, vieux de la vieille au succès tardif. Et l'Angleterre (en provenance du Nigéria) avec le jeune prodige Jacob Banks. À 20h30.
Tarif : de 4€ à 37€
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Samedi 1er juillet
Cinéma en plein air |
C’est enfin la saison où il n’est plus nécessaire de choisir entre profiter de la douceur estivale extérieure ou se caler au ciné (et réviser ses classiques). À la Cité du Design, par exemple, une des oeuvres majeures de Jacques Tati — Mon oncle (1958) — est projetée en plein air. Si le film est une charge sans ambiguïté contre la technique et le confort bourgeois, cette critique passe toutefois par une fascination totale de Tati envers un bric-à-brac moderniste, qui lui permet d’élaborer une spectaculaire mise en scène de l’espace, du temps et surtout du son. Début de la projection à 22h.
Tarif : gratuit
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Samedi 1er juillet
Crémaillère |
Après le Grand déménagement du CCO à La Rayonne, on aura bien suer, il fadra maintenant arroser. Avec la soirée concert sous le chapiteau dans le parc de l'Autre Soie avec The Fat Bastard GB, Mystically, Mahom et La FAME (fanfare) dès 18h.
Tarif : gratuit
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Dimanche 2 juillet
Peinture |
Peintre quasi maudit aux États-Unis, Robert Guinan a connu plus de succès (très relatif) en Europe à partir de la fin des années 1970. Le Musée des Beaux-Arts a eu la bonne idée de nous faire redécouvrir cet artiste des bas-fonds de Chicago à travers une rétrospective qui prend aux tripes. Plongé dans des vapeurs d’alcools et d'épaisses volutes de cigarettes, dans un bar paumé de Chicago, Robert Guinan croque sur son carnet à dessin des piliers de bar, des filles de joie, une tablée d’ivrognes…
Tarif : jusqu’à 8€
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Lundi 3 juillet
Jazz |
Il vous a manqué Marcus Miller depuis son dernier passage à Jazz à Vienne – ce devait être, il y a quoi, deux heures ? Eh bien, revoici en majesté du haut de ses 63 ans – il en fait 20 de moins, le super bassiste de jazz, ancien disciple de Miles Davis et qui en a aujourd'hui plein à lui, des disciples. La première partie encore plus excitante, avec le quintet londonien Ezra Collective, qui occupe une place de choix au sein de la nouvelle scène anglaise avec un jazz décomplexé, nourri à l’afrobeat, au reggae et au hip-hop. À 20h30.
Tarif : de 4€ à 37€
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