Biennale Musiques en Scène 2012

Gagnez 10 places pour Endless eleven le vendredi 2 mars à 20h à l'Ensatt et 10 places pour Cris, appels, clameurs le jeudi 8 mars à l'Ensatt
pour participer :

Téléphonez au 04 72 00 10 20 le mercredi 29 février de 18h10 à 18h30

 

Endless eleven

Bertrand Dubedout Endless Eleven (cm) action musicale, scénique et vidéographique pour un percussionniste et environnement électronique interactifsur des textes de Emmanuel Kant.

ONZE INSTRUMENTS À PERCUSSION DONT SERONT ÉTABLIES ONZE COMBINAISONS POUR ONZE PROPOSITIONS MUSICALES DÉVELOPPÉES DE ONZE FAÇONS DIFFÉRENTES agencées à onze propositions scénographiques et onze propositions vidéographiques reliées par onze propositions d’interactivité et onze textes de Kant lus dans onze langues différentes cependant qu’onze chats de Schrödinger seront retrouvés morts ou vifs et sachant que l’œuvre ne sera considérée comme achevée qu’après épuisement de toutes les combinaisons entre toutes ces variables et leurs propres combinaisons. Un percussionniste est placé dans un espace multimédia conçu comme un instrument, réactif aux actions de l’interprète mais rendu instable par un jeu complexe d’interférences. Formant comme une matière sonore sous-jacente, des textes d’Emmanuel Kant tentent de se frayer un passage au travers d’un véritable parcours d’obstacles.

Théâtre Laurent Terzieff (ENSATT)
Vendredi 2 Mars — 20h00

Cris, appels, clameurs

DES ŒUVRES INSPIREES PAR LA RECUPERATION DE MATERIAUX DITS « MODESTES », SORTE D’ARTE POVERA A L’ITALIENNE,  C’EST LE THÈME CHOISI POUR CETTE SOIRÉE EN COMPAGNIE DE L’ALTISTE CHRISTOPHE DESJARDINS, DU CHŒUR BRITTEN ET DU CHŒUR D’ENFANTS DE VILLEFRANCHE, TOUS PLACÉS SOUS LA DIRECTION DE NICOLE CORTI.

C’est bien l’idée de la récupération de matériaux dits « modestes » qui prime dans ce concert. Si Marco Stroppa compose avec des textes de graffitis, Berio, lui, nous fait entendre une voix abrupte, celle d’un chanteur de rue sicilien qui se mêle de la plus belle manière qui soit au son de l’altiste. Mauro Lanza, lui, compose à partir de sons extrêmement triviaux, parfois dénués de beauté, les chanteurs ayant à leur disposition un arsenal de jouets, l’électronique faisant le reste... Quant à Javier Torres Maldonado, il s’amuse à recomposer les règles des jeux de notre enfance.

Théâtre Laurent Terzieff (ENSATT)
Jeudi 8 Mars — 20h00