La nature a horreur du vide
De Emmanuel Louisgrand
Notre avis : Avec une invitation faite à un artiste-jardinier, on pouvait légitimement s'attendre à ce que le Vog soit transformé en luxuriante serre tropicale. Ce n'est pas le cas. Déterminé à surtout faire ce que l'on n'attend pas de lui, Emmanuel Louisgrand a évacué (quasiment) tout élément végétal de l'exposition. On y trouve, à défaut, une grande structure orange, des néons, de gigantesques lettres en métal, une sculpture de crocodile, et encore des néons et des ballots de foin en guise d'assise. Pour, finalement, mieux réinventer l’idée de nature.