La Beauté des choses

Comment expliquer qu’un quart de siècle durant, l’ultime film de Bo Widerberg (Ours d’argent à Berlin), soit demeuré inédit des écrans français ? Enfin visible, cette œuvre largement autobiographique narrant les premiers émois d’un adolescent, campé par le propre fils du cinéaste, avec sa professeure alors que la Seconde Guerre mondiale fait des ravages et endeuille les familles. À la fois délicat et puissamment charnel, La Beauté des choses rappelle par son érotisme nostalgique le cinéma des contemporains français de Widerberg, François Truffaut ou Louis Malle.

Au Méliès, jusqu'au 11 février

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