Boiler room
(Clubbing)Un an après leur premier passage, la Halle Tony Garnier accueille l'équipe de Boiler Room pour une édition XXL oscillant entre techno, house et trance. Programmation à venir.
Quoi : toutes les rubriques
Quand : ce week end
Un an après leur premier passage, la Halle Tony Garnier accueille l'équipe de Boiler Room pour une édition XXL oscillant entre techno, house et trance. Programmation à venir.
Soirée 100 % metalcore au Warmaudio avec les Lyonnais de Banquise, qui viendront fêter la sortie de leur nouveau single Crystal Cage. Et pour compléter l'affiche, ils seront accompagnés de Out of my eyes et After the outbreak !
Andria, DJ résident du Ninkasi Cordeliers, fait durer la fête de la Biennale de la danse en invitant des guests pour faire scintiller le dancefloor de vibes hip-hop, electro, afro, RnB et plus. Cette fois-ci, ce sera au tour de la DJ Louise Albann !
Dans le cadre de son partenariat avec la Biennale de la danse et le Centre Pompidou, la chorégraphe et musicienne Dorothée Munyaneza invite l'artiste Cassandra Moun pour une performance investissant les six espaces de la Villa Gillet, où chaque déplacement devient un acte de perception, un glissement d’un temps à un autre.
Dans le cadre de son partenariat avec la Biennale de la danse et le Centre Pompidou, la chorégraphe et musicienne Dorothée Munyaneza invite la DJ Asna pour une performance musicale et scénique hybride mettant en lumière les résonances contemporaines des rythmes traditionnels ivoiriens en les fusionnant avec des beats électroniques.
Pur produit lyonnais, Okis publie son premier EP, OK, en janvier 2022. Depuis, il rappe son attachement à sa ville, ses paradoxes, sa gastronomie et son club de foot, le tout avec une science du placement rythmique et un rapport au groove rarement entendu de ce côté de l’Atlantique.
Direction musicale de Nikolaj Szeps-Znaider, par l'orchestre national de Lyon, 1h10. À l'Auditorium de Lyon, le début de saison 2025/2026 rime avec amour, mais aussi mort, en proposant un récital du violoncelliste Jian Wang, accompagné de l'orchestre national de Lyon pour interpréter le Prélude et la Mort d’Isolde de Wagner, Schelomo de Bloch et l'ouverture-fantaisie du Roméo et Juliette de Tchaïkovski.
Le temps d'une soirée, le Jack Jack vibrera au rythme du black metal à l'occasion de la cinquième édition du Rituale Lugdunum fest. À l'affiche : Hegemon, Decline of the I, Les chants de Nihil et Chiaroscvro, représentant plusieurs époques du genre. Et en ouverture, le groupe Eros Necroscopique projettera en exclusivité le clip de son morceau En Quarantaine.
Entre egotrip, cloud rap et observation sociale, Flenn met son écriture à la fois fine et percutante au service de morceaux mêlant introspection et innovation musicale. De son côté, Uva sculpte depuis plusieurs années un univers brut et sensible posé sur des instrumentales planantes et envoûtantes.
Le collectif 23:59 invite le DJ et producteur parisien Omaks à monter sur la scène du Transbordeur pour son tout premier All night long. À cette occasion, une grande scénographie sera déployée pour souligner son set 100 % hard techno.
Soirée en triptyque avec trois artistes aux identités fortes : Sarv, producteur d’origine palestinienne basé à Paris, qui navigue entre dark disco, techno, transe et EBM, Arabian Panther et sa techno vibrante teintée de trance et d'influences orientales, et Mystique, au son imprégné de mélodies populaires et esthétiques hybrides.
Les trois Californiens de Meatbodies débarquent sur la scène de l'Épicerie Moderne avec leur mélange de rock garage, de hard-rock et de rock psychédélique, un an après la sortie de leur quatrième album Flora ocean tiger bloom.
Récemment débarqué de Marseille, La Flemme est un quatuor proposant des compositions frénétiques et introspectives teintées d'expériences post-adolescence, ce qui donne sur scène une pop-garage psychédélique sans filtre.
Quatuor autrichien 100 % féminin, Friedberg propose un mélange de post-punk et de rock, qui donne un résultat électrisant et vivifiant, un post-punk teinté de pop et de groove, à la fois familier et totalement inédit.
Né dans un garage, le trio lyonnais débarque à l'Épicerie Moderne un an après la sortir de son second album No Friends No Pain, un recueil de dix titres qui célèbrent l'amitié, l'amour et les ruptures, sans jamais se séparer du fun et de la légèreté.
Diagonale du vide, masculinisme toxique, téléréalité, SUV, VSS... Rien n'est à l'abri des textes bruts du duo Droges (fusion de la Drôme et des Vosges), qui les souligne avec une musique électronique punk aux relents new wave.
Inspirés par la britpop des années 1990, les Lyonnais de Second Major proposent un rock indie empreint de post-punk mêlant rythmiques obsédantes et mélodies envoûtantes. Les voici à l'Épicerie Moderne, quelques mois après la sortie de leur premier EP, Blooms.
Avec un mélange de voix planantes, de mélodies sombres et de musique électronique minimaliste, Lovataraxx propose une darkwave envoûtante aux textes passant de l'anglais à l'allemand, portés par des synthétiseurs corrosifs et des boîtes à rythmes acérées, aux frontières de l’indus.
Le groupe de punk lyonnais Toxic Frogs fête ses dix ans de carrière et à cette occasion, la Rayonne organise un festival d'une soirée 100 % punk, avec Resto Basket, sans oublier le hardcore de la part de Tagada Jones et une touche de celtique de la part de Toxic Frogs eux-mêmes.
Le Collectif Bosphore et le groupe Ezgili Kervan organisent une soirée festive et dansante autour des musiques des Balkans et d’Anatolie au Toï Toï. Au son du kaval ou du saz, les rythmes impairs feront vibrer la salle toute la soirée.
Dans le cadre de son partenariat avec la Biennale de la danse et le Centre Pompidou, la chorégraphe et musicienne Dorothée Munyaneza invite l'artiste Ibukun Sunday pour une performance musicale in-situ à la Villa Gillet, combinant rythmes ouest-africains, enregistrements de terrain, noise, ambient, et des pratiques d'improvisation de son Nigéria natal.
Dans le cadre de son partenariat avec la Biennale de la danse et le Centre Pompidou, la chorégraphe et musicienne Dorothée Munyaneza invite le collectif Maraboutage pour une performance entre musique et danse influencée par leurs multiples voyages autour du globe.
Le Neko Light Orchestra revient à Lyon pour une représentation de son nouveau concert intitulé Échos d'Hyrule. Conçu comme un hommage à la saga vidéoludique The Legend of Zelda, de son premier opus sorti en 1986 jusqu'au dernier, Tears of the Kingdom, sorti en 2023.
Ce dimanche, le Sucre accueille le duo italien Mathame, dont les sets brouillent les frontières entre rêverie et réalité, accompagnés de Messaline et sa techno profonde et progressive, ainsi que le lyonnais Jast.