Polina Panassenko
Pour son premier roman Tenir sa langue.
Notre avis : Dans son premier roman "Tenir sa langue", fiction d'inspiration autobiographique, Polina Panassenko traite des questions d’immigration et d’identité. La narratrice y raconte son parcours d'immigrée russe en France, débarquée à Saint-Étienne au début des années 90. Elle y raconte son combat pour garder son patronyme russe "Polina" contre la décision des administrations françaises. "Polina", un prénom identique à celui que portait sa grand-mère, dans son cher pays natal.