Carte blanche à András Schiff
(Classique et Lyrique)L'Auditorium de Lyon invite le pianiste hongrois András Schiff sur sa scène pour un récital en solo au programme surprise, qu'il présentera au fil de la soirée.
Métro B, station Part-Dieu, sortie Centre commercial, Porte de l’Esplanade, niveau 2. Tramway T1, arrêt Part-Dieu-Servient - T3, arrêt Gare Part-Dieu-Villette. Bus C1, C3, 25, 28, 36, 37, 41, 47, 59, 70, 99. Parkings Parc-Auto Lyon Nord (centre commercial de la Part-Dieu) et Halles de Lyon Plusieurs places de stationnement sont réservées aux personnes handicapées titulaires des cartes G.I.C. et G.I.G. devant l’entrée du public, place Charles-de-Gaulle.
Épicentre de l'Orchestre National de Lyon. L'Auditorium propose un programme pour les férus de musique classique, mais la démocratise également sur des dates clés pour la rendre accessibles aux novices comme aux jeunes curieux. Situé au pied du "crayon", il en impose aussi par sa structure bétonnée des années 70.
L'Auditorium de Lyon invite le pianiste hongrois András Schiff sur sa scène pour un récital en solo au programme surprise, qu'il présentera au fil de la soirée.
Direction musicale de Simone Young, par l'Orchestre national de Lyon, 1h30. La cheffe d'orchestre australienne Simon Young revient à l'Auditorium de Lyon en s'attaquant à la Nuit transfigurée d'Arnold Schönberg et la Symphonie lyrique d'Alexander von Zemlinsky. Pour ce challenge, elle disposera de deux chanteurs dont elle a déjà pu apprécier le talent sur les plus grandes scènes, Maria Bengtsson et Bo Skovhus.
Le jeune organiste Thibault Fajoles s'est fait inviter par l'Auditorium de Lyon pour profiter de son orgue. Au programme de ce récital, des mélodies de Richard Wagner, Louis Vierne, Camille Saint-Saëns, Pierre Cochereau et Max Reger.
Direction musicale de Nikolaj Szeps-Znaider, par l'Orchestre national de Lyon, 1h30. Également appelée Chant de la nuit, la Symphonie n° 7 de Mahler est considérée comme l'une de ses plus rares, avec deux musiques nocturnes symétriquement disposées en deuxième et quatrième position des cinq mouvements. Lors de cette soirée, l’Orchestre national de Lyon et Nikolaj Szeps-Znaider éclaireront d’une lumière nouvelle ces scènes d’amour et de féerie.
Par les musiciennes et musiciens de l’ONL, 1h. Au total, huit instrumentalistes (hautbois, clarinette, basson et cor) issus de l'ONL interprèteront tout un récital composé de l'Octuor op. 103 de Beethoven, de l'Octanphonie de Bozza et de la Sérénade n° 12 de Mozart, en préparation de la Septième Symphonie, «Chant de la nuit» de Mahler et du Petit Concert d’orgue qui l’accompagne.
Direction musicale de Marc-Olivier Dupin, par l'Orchestre national de Lyon, 1h. Si l'année dernière c'était un petit ensemble instrumental qui interprétait ce spectacle, c'est maintenant au tour de l'orchestre symphonique qui illustrera le conte d'Antoine de Saint-Exupéry dans une version moderne, colorée et dynamique mêlée aux dessins de Joann Sfar et portée par la voix de Benoît Marchand.
Direction musicale de Giovanni Radivo, 1h. L'Auditorium de Lyon offre la possibilité de déjeuner en musique en proposant une parenthèse musicale avec un concert présenté. Au programme, la Symphonie en ré majeur de Kraus et la Symphonie n° 29 en la majeur de Mozart.
Direction musicale de Giovanni Radivo, 1h20. Au poste de violon solo supersoliste à l’Orchestre national de Lyon depuis 1999, Giovanni Radivo continue son exploration de la symphonie classique. Après avoir fait découvrir Salieri et Vaňhal la saison dernière, c'est au tour de Joseph Martin Kraus, surnommé le Mozart suédois, exact contemporain de l’illustre musicien viennois.
L'organiste anglais James McVinnie monte sur la scène de l'Auditorium de Lyon pour un récital brisant les codes de l’instrument à tuyaux avec, au programme, des compositions de Meredith Monk, Julia Wolfe, Sufjan Stevens, Nico Muhly, Laurie Spiegel, Marcel Dupré, Olivier Messiaen, Giles Swayne et Philip Glass.
Direction de Franck Ollu, par l'Orchestre national de Lyon, 1h20. Les organistes Grégoire Rolland et James McVinnie s'associent à l'ONL pour un récital sur le thème de la forêt avec des airs de Grégoire Rolland, Gabriella Smith et Claude Debussy.
Modérée par Sabine Quindou, avec Grégoire Rolland, organiste et compositeur, et Gabriella Smith, compositrice. En complément des concerts de la Biennale d’orgue tenue à l'Auditorium de Lyon, ce dernier accueillera également une conférence sur les enjeux écologiques auxquels fait face le milieu artistique, en compagnie de la compositrice Gabriella Smith qui interviendra en vidéo depuis Los Angeles, sans oublier l'orgue de l'Auditorium, qui s'exprimera sous les doigts de l'organiste Grégoire Rolland.
Dernier film du cinéaste allemand Wilhelm Murnau, Tabou est un hymne à la nature de la Polynésie et à son caractère sacré, racontant l'histoire d'amour impossible entre Matahi, un pêcheur de perles, et Reri, une jeune femme vouée au dieux par le chef du village, ce qui la rend « taboue », intouchable. L'organiste polonais Karol Mossakowski accompagnera la projection de ce film par ses improvisations à l'orgue.
Composé de plus de 6400 tuyaux et ayant récemment reçu une nouvelle console dernier cri, l'orgue de l'Auditorium de Lyon recèle de nombreux secrets, qu'il révèlera sous les doigts du compositeur Grégoire Rolland lors de cette présentation.
Direction musicale de Paul Connelly, par l'Orchestre national de Lyon. Pour terminer l'année en douceur, l'Auditorium de Lyon accueille une représentation des plus beaux morceaux de Tchaïkovski, issus de ses ballets Casse-Noisette, La Belle au bois dormant et Le Lac des cygnes, le tout sublimé par une chorégraphie interprétée par Dorothée Gilbert, danseuse étoile, et de Thomas Docquir, premier danseur de l’Opéra de Paris.
Nommé organiste de chœur à l’église Saint-Sulpice de Paris en septembre 2024, Axel de Marnhac est invité par l'Auditorium de Lyon à jouer un récital conviant des airs de Marcel Dupré, Louis Vierne, Claude Debussy, Elsa Barraine et Maurice Duruflé.
Direction musicale de Nikolaj Szeps-Znaider, par l'Orchestre national de Lyon, 1h15. En écho à l’exposition du Musée des beaux-arts de Lyon consacrée aux œuvres inspirées par les falaises d’Étretat, l'Orchestre national de Lyon interprète le Poème de l’amour et de la mer d'Ernest Chausson avant de se lancer dans Pulcinella, à travers lequel Stravinsky revisite Pergolèse.
Notre avis : Ernest Chausson ne mit rien moins qu'une dizaine d'années (1882-1892) pour composer son chef-d'œuvre inclassable (à la fois cycle de mélodies, cantate profane et monologue), Poème de l'amour et de la mer, à partir de six poèmes de son ami Maurice Bouchor. Cette œuvre poignante pour voix et orchestre sera complétée au programme de l'ONL par la musique pour ballet de Stravinski, Pulcinella, nettement plus légère.
Direction musicale de Franck Ollu, par l'Orchestre national de Lyon, 1h. Accompagné par l’Orchestre national de Lyon au grand complet, l’orgue de l'Auditorium donnera vie à la forêt californienne grâce à la partition de la compositrice Gabriella Smith Breathing Forests, qui donnera à entendre à quel point ce milieu est riche de vie et de sonorités.
Un an après la sortie de son album Méditation, le pianiste allemand Andreas Staier présente un récital construit autour des prédécesseurs de Bach, regroupant entre autres Fischer, Fux, Couperin, Froberger et Staier, sans oublier Bach lui-même.
Direction musicale de Jérémie Rhorer, 1h40. Pendant que la Fête des lumières prend Lyon d'assaut, la mezzo-soprano Isabel Leonard le Cercle de l’harmonie et Jérémie Rhorer convient à un récital avec les plus belles ouvertures et les plus grands airs de Rossini.
Direction musicale d'Ernst van Tiel, 1h49. L'Auditorium de Lyon propose une projection du film Psychose d'Alfred Hitchcock, accompagnée d'une bande-son réalisée en live par l'Orchestre national de Lyon, de quoi redécouvrir ce classique du thriller horrifique.
Les musiciens de l'ONL entreprennent d'interpréter le Quatuor pour la fin du temps d'Olivier Messaien une œuvre sensorielle, émotionnelle et bouleversante composée dans un camp de travail allemand, accompagnée de Spiegel im Spiegel d'Arvo Pärt.
Par le prisme du jeu et du jouet, le CHRD propose une exposition au regard sensible et inédit sur l’endoctrinement, l’imaginaire et les réalités quotidiennes pendant la seconde Guerre Mondiale, à hauteur d’enfant.