Akram Khan, Israel Galván et les Ballets jazz de Montréal

Jeudi 9 janvier 2014

Photo : Laurent-Ziegler / Javier Andrada

Feu d'artifice

Rencontre au sommet prévue du 2 au 7 juin à la MC2 entre Akram Khan et Israel Galván. Soit deux monstres sacrés de la danse contemporaine, qui chacun à sa manière transcende un art ancestral - le kathak pour Khan, le flamenco pour Galván. Le temps fort de la fin de saison, dont on ne sait pour l'instant pas grand-chose, mais dont on attend énormément. Patience.

Quand le jazz est là

Les Ballets jazz de Montréal, fondés en 1972, bénéficient d'une excellente réputation. Leur envie ? « Faire vivre des émotions par une danse actuelle. » Ils seront à la Rampe mardi 25 et mercredi 26 mars avec un programme de trois pièces (Zero in on, Night Box et Harry). On ira découvrir ça avec plaisir.

Torobaka

Interprétation, ms et chor. d'Akram Khan et d'Israel Galván. Chacun d'eux, dans une voie parallèle qui croise en filigrane la route des Indes, a porté son art au sommet : le kathak pour l'un, le flamenco pour l'autre. Les similitudes entre les deux formes sont évidentes : frappes au sol, mouvements circulaires des bras, interaction essentielle et directe avec les musiciens. Ici, au nombre de six, les instrumentistes, présents sur scène, accompagnent et côtoient le duo. Il ne s'agit pas dans cette rencontre d'un désir de fusion entre les deux artistes, mais bien plus d'une envie d'apprendre de l'autre