Juin au féminin pluriel
Dans l'inflation chronique des sorties cinéma, faisons un petit focus sur trois films qui n'ont en commun ni leurs sujets, ni leur qualité, mais seulement d'être réalisés par trois femmes. Christophe Chabert
L'Inconnu du lac
Quelque part entre Simenon et Weerasethakul, Alain Guiraudie installe une intrigue de film criminel sur les bords d'un lac transformé en paradis homo, interrogeant les mécanismes du désir et l'angoisse de la solitude. Drôle et envoûtant....
L'Attentat
De Ziad Doueiri (Fr-Belg-Liban-Qatar, 1h45) avec Ali Suleiman, Reymonde Amsellem...
Cannes, à la Vie, à l'amour...
En couronnant ce qui est incontestablement le meilleur film de la compétition, La Vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche, Steven Spielberg et son jury ont posé un beau point final à un 66e festival de Cannes passionnant en son centre, moins stimulant...
L'Attentat
Un film de Ziad Doueiri (Fr-Belge-Lib-Gat, 1h45) avec Ali Suliman, Reymonde Amsellem...
L'Attentat
De Ziad Doueiri (Fr-Belg-Liban-Qatar, 1h45) avec Ali Suleiman, Reymonde Amsellem...
Cannes, à la Vie, à l'amour...
En couronnant "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche, incontestablement le meilleur film de la compétition, Steven Spielberg et son jury ont posé un beau point final à un 66e festival de Cannes passionnant en son centre, moins stimulant dans ses...
Cannes, à la Vie, à l'amour...
En couronnant ce qui est incontestablement le meilleur film de la compétition, "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche, Steven Spielberg et son jury ont posé un beau point final à un 66e festival de Cannes passionnant en son centre, sinon dans...
Cannes - Jour 10 : Bouquet final
The Immigrant de James Gray. Only lovers left alive de Jim Jarmusch. La Vénus à la fourrure de Roman Polanski.
Cannes, jour 10 : bouquet final
"The Immigrant" de James Gray. "Only lovers left alive" de Jim Jarmusch. "La Vénus à la fourrure" de Roman Polanski.
Cannes - Jour 10 : Bouquet final
"The Immigrant" de James Gray. "Only lovers left alive" de Jim Jarmusch. "La Vénus à la fourrure" de Roman Polanski.
Cannes - Jour 9 : Une certaine idée de la langueur
Nebraska d'Alexander Payne. Michael Kohlhaas d'Arnaud Des Pallières. Magic Magic de Sebastian Silva.
Cannes, jour 9 : une certaine idée de la langueur
"Nebraska" d'Alexander Payne. "Michael Kohlhaas" d'Arnaud Des Pallières. "Magic Magic" de Sebastian Silva.
Cannes - Jour 9 : Une certaine idée de la langueur
"Nebraska" d'Alexander Payne. "Michael Kohlhaas" d'Arnaud Des Pallières. "Magic Magic" de Sebastian Silva.
Cannes - Jour 8 : Amour (encore)
All is lost de J.C. Chandor. La Vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche
Cannes, jour 8 : amour (encore)
"All is lost" de J.C. Chandor. "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche
Cannes - Jour 8 : Amour (encore)
"All is lost" de J.C. Chandor. "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche
Cannes - Jour 7 : Le Queer lui va si bien...
Behind the candelabra de Steven Soderbergh. As I lay dying de James Franco. Grigris de Mahamat Saleh Haroun. Les Salauds de Claire Denis.
Cannes, jour 7 : le Queer lui va si bien...
"Behind the candelabra" de Steven Soderbergh. "As I lay dying" de James Franco. "Grigris" de Mahamat Saleh Haroun. "Les Salauds" de Claire Denis.
Cannes - Jour 7. Le Queer lui va si bien...
"Behind the candelabra" de Steven Soderbergh. "As I lay dying" de James Franco. "Grigris" de Mahamat-Saleh Haroun. "Les Salauds" de Claire Denis.
Only god forgives
Nicolas Winding Refn rate le virage post-Drive avec ce film vaniteux qui ressemble à l'œuvre d'un chef décorateur surdoué cherchant sans y parvenir quelque chose à raconter. Christophe Chabert
Only god forgives
Nicolas Winding Refn rate le virage post-"Drive" avec ce film vaniteux qui ressemble à l'œuvre d'un chef décorateur surdoué cherchant sans y parvenir quelque chose à raconter.Christophe Chabert
Only God forgives
Nicolas Winding Refn rate le virage post-Drive avec ce film vaniteux qui ressemble à l'œuvre d'un chef décorateur surdoué cherchant sans y parvenir quelque chose à raconter.Christophe Chabert
La Grande Bellezza
L'errance estivale d'un écrivain qui n'écrit plus dans la Rome des fêtes et des excès. Derrière ses accents felliniens, le nouveau film de Paolo Sorrentino marque l'envol de son réalisateur, désormais au sommet de son inventivité visuelle et...
La Grande Bellezza
L'errance estivale d'un écrivain qui n'écrit plus dans la Rome des fêtes et des excès. Derrière ses accents felliniens, le nouveau film de Paolo Sorrentino marque l'envol de son réalisateur, désormais au sommet de son inventivité visuelle et...
La Grande Bellezza
L'errance estivale d'un écrivain qui n'écrit plus dans la Rome des fêtes et des excès. Derrière ses accents felliniens, le nouveau film de Paolo Sorrentino marque l'envol de son réalisateur, désormais au sommet de son inventivité visuelle et...
Cannes - Jours 5 et 6 : Mauvais genres
Shield of straw de Takashi Miike. The Last days on mars de Ruairí Robinson. Blue Ruin de Jeremy Saulnier. Borgman d'Alex Van Warmerdam.
Cannes, jours 5 et 6 : mauvais genres
"Shield of straw" de Takashi Miike. "The Last days on mars" de Ruairí Robinson. "Blue Ruin" de Jeremy Saulnier. "Borgman" d'Alex Van Warmerdam.
Cannes - Jours 5 et 6 : Mauvais genres
"Shield of straw" de Takashi Miike. "The Last days on mars" de Ruairí Robinson. "Blue Ruin" de Jeremy Saulnier. "Borgman" d'Alex Van Warmerdam.
Cannes, Jour 4 : psy-folk
Grand central de Rebecca Zlotowski. Jimmy P. d'Arnaud Desplechin. Inside Llewin Davis de Joel et Ethan Coen.
Cannes, jour 4 : psy-folk
"Grand central" de Rebecca Zlotowski. "Jimmy P." d'Arnaud Desplechin. "Inside Llewin Davis" de Joel et Ethan Coen.
Cannes - Jour 4 : psy-folk
"Grand central" de Rebecca Zlotowski. "Jimmy P." d'Arnaud Desplechin. "Inside Llewin Davis" de Joel et Ethan Coen.
Cannes, jour 3 : enfance et partage
Stop the pounding heart de Roberto Minervini. Tel père, tel fils d'Hirokazu Kore-Eda. L'Inconnu du lac d'Alain Guiraudie.
Cannes, jour 3 : enfance et partage
"Stop the pounding heart" de Roberto Minervini. "Tel père, tel fils" d'Hirokazu Kore-Eda. "L'Inconnu du lac" d'Alain Guiraudie.
Cannes - Jour 3 : enfance et partage
"Stop the pounding heart" de Roberto Minervini. "Tel père, tel fils" d'Hirokazu Kore-Eda. "L'Inconnu du lac" d'Alain Guiraudie.
Cannes ou le petit air des (h)auteurs
Le festival de Cannes a à peine commencé, et il est déjà temps de pointer les déceptions et les bonnes surprises de sa sélection qui, une fois n'est pas coutume, ne sont pas là où on les attendait.Christophe Chabert
Cannes, jour 2 : Du vieux avec des jeunes
Jeune et Jolie de François Ozon. The Bling ring de Sofia Coppola. A touch of sin de Jia Zhang-ke.
à ne pas manquer !
Derniers articles
