Le Périscope est une salle créée par deux collectifs de musiciens (le Grolektif et le Collectif Polycarpe) et lUniversité Populaire. Cette équipe a pour ambition de faire vivre une scène alternative à Lyon, ouverte à tous les styles de musiques (jazz, mu
Sur scène, le duo Soledad Zarka & Loup Uberto utilise des masques, des instruments modifiés et des objets sonores pour mettre en scène les gestes associés au labeur de tous les jours, avec comme bande-son des chants de travail italiens.
Entre hip-hop et jazz, le trio Shibuuya! s'inspire de la scène américaine pour créer des grooves furieux, renforcés par une musicalité et une complicité entre les musiciens, le tout sur fond de samples d’animés japonais. Les voici au Périscope pour célébrer la sortie de leur premier album éponyme.
Après des milliers de kilomètres parcourus entre platines, micros et claviers, le Gros tas d'Zik fête ses 14 ans au Périscope, et invite pour l'occasion la flûtiste, compositrice et productrice australienne Erica Tucceri dans une formation en quatuor et Rose Kid, membre du trio Grems avec son RnB planant, avant de conclure la soirée par un DJ set, une jam et un open mic.
Le groupe de krautrock lyonnais Ashinoa investit le Périscope pour la release party de son nouvel album, Un'altra Forma, deux jours avant sa sortie officielle. Un nouvel opus où les clarinettes, flûtes et saxophones s’invitent à des instants de quiétude downtempo, avec des touches de jazz psychédélique et de musiques brésiliennes des années 1960. Ce soir-là, ils seront accompagnés de Quelque, alter ego de Romain Vasset avec lequel il construit des morceaux hypnotiques mêlant jazz et musique concrète.
Nouvel alias d'Amédée De Murcia, connu pour sa participation au sein des duos Balladur et OD Bongo, Zone Bleue est l'occasion pour lui d'explorer un univers minimaliste évoquant un orchestre synthétique en proie à une intense agitation émotionnelle, à la croisée de la musique répétitive de Steve Reich et des rêveries de Raymond Scott.
Par le prisme du jeu et du jouet, le CHRD propose une exposition au regard sensible et inédit sur l’endoctrinement, l’imaginaire et les réalités quotidiennes pendant la seconde Guerre Mondiale, à hauteur d’enfant.
