Jeudi 18 novembre
Beaujolais nouveau |
Qui dit troisième jeudi du mois de novembre, dit beaujolais nouveau. Notre spécialiste Adrien Simon vous a concocté une sélection de 9 spots où déguster du primeur garanti zéro goût de banane. Où l'on rendra visite au tout nouveau Jaja qui étend son ouverture jusqu'à 22h, ou encore au Vercoquin, à Yard, et à l'une des trois caves de Vin Nature du côté des Terreaux, de Bellecour et de Jean Macé.
Tarif : gratuit
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Jeudi 18 novembre
Rencontres |
Mode d'Emploi, le festival des idées porté par la Villa Gillet, s'intéresse cette année aux enjeux liés au journalisme et à la démocratie. Avec deux pointures en têtes d'affiches : le journaliste américain et prix Pulitzer William Finnegan (ce jeudi, pour un portrait du journaliste en narrateur) et l'Historien et sociologue Pierre Rosanvallon.
Tarif : gratuit
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Vendredi 19 novembre
Rencontre |
Dans le cadre de son weekend de mobilisation 24H contre les violences sexistes et sexuelles, Les Célestins proposent au public des temps d’échange avec des structures d’accompagnement des victimes, mais également autour d’œuvres ouvrant sur d’autres perspectives, en particulier celle de l’émancipation des femmes. Ce vendredi ne loupez pas la projection de neuf courts-métrages de la série H-24 - 24 heures dans la vie d'une femme produite par Arte. S'en suivra un échange entre Valérie Urrea et Léonie Pernet (compositrice) suivi d'une lecture par Anne de Boissy (comédienne). De 19h à 21h.
Tarif : gratuit
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Vendredi 19 novembre
Court-Métrage |
42e édition du Festival du Film Court pour le Zola ! Le but ? Rendre plus accessible la forme courte qui regorge de talents trop souvent méconnus. Comme d’habitude, le programme abonde de friandises parmi les quelles la carte blanche à Rafik Djoumi sur Le monde d’après vu d’avant. Nos coups de cœur à lire dans l’article !
Tarif : variable selon programmation
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Vendredi 19 novembre
Théâtre |
Marie Depoorter, jeune diplômée de l’ENSATT, propose un étonnant et mémorable solo crissant sur l’apprentissage de la douleur des danseurs classiques. Quand, soudain, son corps meurtri est renversé par le désir et le plaisir. Un magnifique travail profondément pensé et tenu. La dernière représentation de Grand Battement est à voir au Théâtre de l’Elysée à 19h30.
Tarif : de 10€ à 14€
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Samedi 20 novembre
Concert |
La jeune et épatante artiste – membre du label Infiné – Léonie Pernet sort son deuxième album ce vendredi 19 novembre. Elle présentera Le Cirque de Consolation dans la foulée, le 20, à l'Opéra Underground qui devrait rayonner de ses volutes électroniques couplées à des influences africaines ou orientales, développées au fil d'un disque où elle chante aussi beaucoup plus : c'est forcément pop, et c’est à 20h.
Tarif : de 15€ à 19€
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Samedi 20 novembre
Before |
C'est l'histoire d'un homme qui tombe d'un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « jusqu'ici tout va bien... » Et comme l'important, c'est pas la chute, mais l'atterrissage, il faudra atterrir à Yard (place des Tapis) pour le lancement de la collab' entre Hubert Koundé aka Cousin Hub (La Haine) et l’artiste Brusk. Cousin Hub exposera dès 17h sa collection street-wear sérigraphiée par l'artiste, tout en dégustant la Cuvée des Artistes.
Tarif : gratuit
Samedi 20 novembre
Friperie |
À 3€ le kilo, c'est le bon plan fripe du mois ! Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Réduction des Déchets, les ressourceries du territoires s'allient pour proposer de 10 à 16h sur la place Valmy une fripe géante. Atelier courture et sensibilisation sur place.
Tarif : gratuit
Samedi 20 novembre
Humour |
L'humoriste suisse politiquement incorrect Thomas Wiesel – entendu entre autres à Quotidien ou sur France Inter – revient avec son nouveau spectacle, Ça va. Après avoir raillé la Suisse Romande et tout ce qu’elle compte de politiciens et de personnalités, il débarque à La Bourse du Travail avec une nouvelle cible : lui.
Tarif : 30€ à 32€
Mercredi 24 novembre
Expo |
Depuis 40 ans, à Lyon, Le Réverbère défend la photographie en général et certains photographes en particulier. Pour fêter cela, la galerie a proposé à plusieurs de ses (anciens ou actuels) assistants et assistantes de présenter, chacun sur une cimaise, leur florilège d’images produites par la galerie. La sélection la plus osée et la plus troublante est signée Aurélie Sannazzaro qui met en avant le corps : corps érotique, corps pornographique, corps fragile et blessé...
Tarif : gratuit
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