Scènes #Lyon
Agenda des événements à voir dans les salles de théâtre et de danse de Lyon
toutes les dates à venir / spectacles sélectionnés par la rédaction
nous avons trouvé 58 résultats
Alex Ramirès
Humour & Café Théâtre
Mercredi 16 octobre 2024 à 20h
Bourse du Travail
Notre avis : Éclat, brio, fière allure : c’est la définition selon le Larousse du mot "panache", le titre du nouveau spectacle d’Alex Ramires. Ce spectacle « sur la confiance, ou faire semblant d'en avoir » s’ouvre par un défilé commenté par Loïc Prigent, journaliste connu pour son regard acide et décalé sur la mode. On retrouve donc les collections de Simon Fenêtre Jacquemus, mais aussi les consultations de Jean-Yves Sirop « medium, astrologue, numérologue, penduliste, ainsi que relais colis le samedi matin. Plaisantins s’abstenir », ou encore un duo de RnB qui casse les codes. Un spectacle intelligent et dans l’air du temps.
La fête
Théâtre
15 octobre et 16 octobre mardi à 20h20, mercredi à 19h
Théâtre du Point du Jour
Notre avis : C’est la version light de Sens interdits. Seulement 8 spectacles répartis au TNP, Point du Jour, Renaissance, Célestins, ENSATT, Croix-Rousse… venus de Lituanie, Pologne, Rwanda. On a hâte de découvrir ce que les artistes rwandais d’une génération qui m’a pas connu le génocide mais en hérite a à nous dire (Génération 25 à la Renaissance les 18 et 19 octobre) ou les lituaniens, tous porteurs de handicaps invisibles, sur leur jeunesse post Tchernobyl (La Fête au Point du Jour, les 15 et 16 octobre). La polonaise Marta Gornika revient au festival après un passage par la cour d’honneur d’Avignon cet été. Elle dirige un chœur puissant avec des compatriotes, des ukrainiennes et des biélorusses pour interroger nos responsabilités d’Européens dans cette guerre. En plus des spectacles, des rencontres, des débats… comme celle sur le Rwanda à la bibliothèque de Vaise le 17 octobre à 18h30.
David Castello-Lopes
Humour & Café Théâtre
Jeudi 17 octobre 2024 à 20h
Bourse du Travail
Notre avis : Connu comme le loup blanc en tant qu’humoriste, vidéaste et un peu chanteur, David Castello-Lopes est également journaliste de (grande) investigation. On découvre au passage son goût pour l'absurde avec des enquêtes à succès telles que “Pourquoi les Allemands aiment-ils autant la rhubarbe ?”, “Depuis quand ça existe le surimi ?” ou “Vintage : le tétanos pourrait-il revenir à la mode ?”. Sur scène, c’est un savant mélange de chansons, vidéos pré-enregistrées et clips chorégraphiés donnant naissance à un spectacle authentique.
L'Amiral Sénès
Danse
17 octobre et 18 octobre jeu à 19h, ven à 20h
Les Subs
Notre avis : Spectacle crée au festival de danse d'Uzès avec Yannick Hugron, co-directeur du CCN de Grenoble. La chorégraphe Marion Carriau y évoque un aïeul de sa famille dont elle déconstruit le mythe. Voici une épopée militaire qui s'annonce burlesque.
Toutes les choses géniales
Théâtre
Du 16 au 18 octobre 2024, à 20h
L'Assemblée, fabrique artistique
Notre avis : Le théâtre de l'Assemblée semble trouver sa vitesse de croisière depuis l'arrivée à sa tête du metteur en scène Thomas Poulard. Cette semaine, il est seul en scène dans ce travail qu'il mène autour d'un garçon de 7 ans qui apprend que sa mère a fait une tentative de suicide et fait, pour lui remonter le moral, une liste de toutes les choses géniales qu'il connait : les glaces, les batailles d'eau... Loin de l'ambiance de Dürrenmatt et Gombrowicz auquel il s'est attelé il y a plusieurs années.
Majorettes
Danse
18 octobre et 19 octobre à 20h30
Maison de la Danse
Notre avis : Quand un chorégraphe (Mickaël Phelippeau) adepte des portraits de groupe s'intéresse à un club de majorettes (les Major’s Girls) dont la plupart des membres ne sont plus très jeunes, ça donne un spectacle d'une grande émotion et d'une immense vitalité. Entre moments de pure démonstration d'un art souvent vu comme désuet voire ringard et d'autres de confessions touchantes ou drôles, Majorettes est une sorte de parenthèse hors du temps emplie de générosité.
Cornucopia
Théâtre
Jusqu'au 19 octobre 2024, du mardi au vendredi à 20h, samedi à 18h30 et dimanche à 16h
TNP - Théâtre National Populaire
Notre avis : 2e volet de sa trilogie "D'autres mondes possibles", Joris Mathieu crée ce spectacle avec moins de technologie que précédemment mais tout en phosphorescence au service d'une société qui rêve d'abondance. Pour sa dernière création en tant que directeur du TNG, l'auteur metteur en scène nous propose une nouvelle virée dans un futur si peu désirable.
Le Ring de Katharsy
Théâtre
Jusqu'au 19 octobre 2024, du mar au ven à 19h30, sam à 18h, dim à 15h30
TNP - Théâtre National Populaire
Notre avis : Toutes premières dates pour ce travail d'Alice Laloy qui commence ici sa longue et prestigieuse tournée. Depuis 20 ans, cette plasticienne scénographe convoque des images et des outils tels que les marionnettes qu’elle avait magistralement dirigées dans "Pinocchio(live)#3". Cette fois, elle invite les spectateurs à un tournoi entre deux joueurs qui s’affrontent via trois avatars chacun. Théâtre d’objet, de machine, danse, musique : voici un « jeu vidéo artisanal » très attendu !
Los días afuera
Théâtre
Du 17 au 19 octobre 2024, jeudi à 19h30, vendredi à 20h, samedi à 19h
Théâtre de la Croix-Rousse
Notre avis : C’est la version light de Sens interdits. Seulement 8 spectacles répartis au TNP, Point du Jour, Renaissance, Célestins, ENSATT, Croix-Rousse… venus de Lituanie, Pologne, Rwanda. On a hâte de découvrir ce que les artistes rwandais d’une génération qui m’a pas connu le génocide mais en hérite a à nous dire (Génération 25 à la Renaissance les 18 et 19 octobre) ou les lituaniens, tous porteurs de handicaps invisibles, sur leur jeunesse post Tchernobyl (La Fête au Point du Jour, les 15 et 16 octobre). La polonaise Marta Gornika revient au festival après un passage par la cour d’honneur d’Avignon cet été. Elle dirige un chœur puissant avec des compatriotes, des ukrainiennes et des biélorusses pour interroger nos responsabilités d’Européens dans cette guerre. En plus des spectacles, des rencontres, des débats… comme celle sur le Rwanda à la bibliothèque de Vaise le 17 octobre à 18h30.
Génération 25
Théâtre
18 octobre et 19 octobre vendredi à 20h, samedi à 17h
Théâtre de la Renaissance
Notre avis : C’est la version light de Sens interdits. Seulement 8 spectacles répartis au TNP, Point du Jour, Renaissance, Célestins, ENSATT, Croix-Rousse… venus de Lituanie, Pologne, Rwanda. On a hâte de découvrir ce que les artistes rwandais d’une génération qui m’a pas connu le génocide mais en hérite a à nous dire (Génération 25 à la Renaissance les 18 et 19 octobre) ou les lituaniens, tous porteurs de handicaps invisibles, sur leur jeunesse post Tchernobyl (La Fête au Point du Jour, les 15 et 16 octobre). La polonaise Marta Gornika revient au festival après un passage par la cour d’honneur d’Avignon cet été. Elle dirige un chœur puissant avec des compatriotes, des ukrainiennes et des biélorusses pour interroger nos responsabilités d’Européens dans cette guerre. En plus des spectacles, des rencontres, des débats… comme celle sur le Rwanda à la bibliothèque de Vaise le 17 octobre à 18h30.
Par grands vents
Théâtre
Du 17 au 20 octobre 2024, à 20h, jeudi à 19h30, dimanche à 16h
Célestins, théâtre de Lyon
Notre avis : C’est la version light de Sens interdits. Seulement 8 spectacles répartis au TNP, Point du Jour, Renaissance, Célestins, ENSATT, Croix-Rousse… venus de Lituanie, Pologne, Rwanda. On a hâte de découvrir ce que les artistes rwandais d’une génération qui m’a pas connu le génocide mais en hérite a à nous dire (Génération 25 à la Renaissance les 18 et 19 octobre) ou les lituaniens, tous porteurs de handicaps invisibles, sur leur jeunesse post Tchernobyl (La Fête au Point du Jour, les 15 et 16 octobre). La polonaise Marta Gornika revient au festival après un passage par la cour d’honneur d’Avignon cet été. Elle dirige un chœur puissant avec des compatriotes, des ukrainiennes et des biélorusses pour interroger nos responsabilités d’Européens dans cette guerre. En plus des spectacles, des rencontres, des débats… comme celle sur le Rwanda à la bibliothèque de Vaise le 17 octobre à 18h30.
Bianca Del Rio
Humour & Café Théâtre
Mardi 22 octobre 2024 à 20h30
Radiant-Bellevue
Notre avis : Figure du programme télé RuPaul's Drag Race (dont elle a gagné la sixième saison en 2014), Bianca Del Rio est ce que l'on appelle une "comedy queen". D'où le fait qu'elle s’épanouisse depuis sa victoire sur les planches de théâtre dans des shows à l'humour féroce et noir, très loin du politiquement correct. Avec un débit mitraillette, et sans sur-titre quand elle joue à l'étranger, elle dégomme tout ce qu'elle peut, notamment les siens – les LGBT et leurs alliés. Un second degré intense qu'elle déploiera sans doute dans Dead inside, nouveau solo d'"insult comedy" que nous n'avons pas encore vu mais que nous attendons avec impatience.
Mothers, a song for wartime
Théâtre
24 octobre et 25 octobre à 20h
TNP - Théâtre National Populaire
Notre avis : C’est la version light de Sens interdits. Seulement 8 spectacles répartis au TNP, Point du Jour, Renaissance, Célestins, ENSATT, Croix-Rousse… venus de Lituanie, Pologne, Rwanda. On a hâte de découvrir ce que les artistes rwandais d’une génération qui m’a pas connu le génocide mais en hérite a à nous dire (Génération 25 à la Renaissance les 18 et 19 octobre) ou les lituaniens, tous porteurs de handicaps invisibles, sur leur jeunesse post Tchernobyl (La Fête au Point du Jour, les 15 et 16 octobre). La polonaise Marta Gornika revient au festival après un passage par la cour d’honneur d’Avignon cet été. Elle dirige un chœur puissant avec des compatriotes, des ukrainiennes et des biélorusses pour interroger nos responsabilités d’Européens dans cette guerre. En plus des spectacles, des rencontres, des débats… comme celle sur le Rwanda à la bibliothèque de Vaise le 17 octobre à 18h30.
Lou Trotignon
Humour & Café Théâtre
Samedi 26 octobre 2024 à 21h15
Théâtre à l'Ouest
Notre avis : Nous l'avions déjà écrit la saison passée lors de son passage au Complexe ; nous nous répétons pour sa nouvelle date dans la région : Lou Trotignon est l'une des savoureuses découvertes du monde du rire français. Avec son premier spectacle titré Mérou (comme le poisson qui peut changer de sexe au cours de sa vie), il parle de lui, et notamment de sa transition de genre ou de sa non-binarité, avec un humour plein de recul et un sens de l'écriture affûté. Remarquablement drôle.
Beretta 68
Théâtre
Du 22 au 26 octobre 2024, à 20h, samedi à 17h
Célestins, théâtre de Lyon
Notre avis : C’est la version light de Sens interdits. Seulement 8 spectacles répartis au TNP, Point du Jour, Renaissance, Célestins, ENSATT, Croix-Rousse… venus de Lituanie, Pologne, Rwanda. On a hâte de découvrir ce que les artistes rwandais d’une génération qui m’a pas connu le génocide mais en hérite a à nous dire (Génération 25 à la Renaissance les 18 et 19 octobre) ou les lituaniens, tous porteurs de handicaps invisibles, sur leur jeunesse post Tchernobyl (La Fête au Point du Jour, les 15 et 16 octobre). La polonaise Marta Gornika revient au festival après un passage par la cour d’honneur d’Avignon cet été. Elle dirige un chœur puissant avec des compatriotes, des ukrainiennes et des biélorusses pour interroger nos responsabilités d’Européens dans cette guerre. En plus des spectacles, des rencontres, des débats… comme celle sur le Rwanda à la bibliothèque de Vaise le 17 octobre à 18h30.
La vie taupe secrète
Spectacles Divers / Marionnettes
Du 24 au 27 octobre 2024, vendredi, samedi et dimanche à 10h30 et 16h30, jeudi à 16h30
Théâtre des Clochards Célestes
Notre avis : C’est un spectacle de 50 minutes accessible de 1 à 5 ans que nous n’avons pas vu. Mais cette compagnie Ecoutilles, venue de Cluny, est si prometteuse que le théâtre des Clochards célestes l’a invitée trois fois durant cette saison. Voici une session de découverte. Romane Lasserre s’est formée en illustration à l’ESAL d’Epinal et est titulaire d’un master Art-Objet, atelier terre-céramique à la Haute école des arts du Rhin. Elle crée un théâtre d’objets très minutieux. Ici, dans un petit dispositif, elle figure un monticule de terre sous lequel vit une taupe misanthrope dont le territoire est perturbé par l’arrivée envahissante d’un ver de terre.
La chambre de compensation
Théâtre
Du 30 octobre au 1 novembre 2024, à 17h, 19h30 et 21h
Théâtre de l'Élysée
Notre avis : Difficile (inutile !) de toujours catégoriser les artistes qui se moquent pas mal des frontières. Pourtant, c’est comme « performance » qu’Agathe Chevallier définit La Chambre de compensation, en invitant le public s’allonger pour une « traversée sensorielle des mouvements financiers » (sic) et envisager la finance comme autre chose qu’un phénomène intangible !
Envols
Danse
Du 26 octobre au 7 novembre 2024, du lundi au samedi à 20h, relâche le vendredi
Opéra de Lyon
Notre avis : Le Ballet de l’Opéra de Lyon débute sa saison avec « Envols », un programme en trois pièces traversant l’histoire récente de la danse… Un solo datant de 2020 de la nouvelle coqueluche de la danse contemporaine, le belge Jan Martens. Une superbe pièce du tchèque Jiri Kylian, Bella Figura (1995) toute en images en clair-obscur et en mouvements délicats sur le Stabat Mater de Pergolèse. Et, enfin et surtout, Set and Reset / Reset (1983) de Trisha Brown, flux ininterrompu, et tout en finesse et variations, de danseurs et danseuses sur la musique hypnotique de Laurie Anderson.
Toute l’histoire de la peinture en moins de deux heures
Théâtre
Vendredi 8 novembre 2024 à 20h
Radiant-Bellevue
Notre avis : Stand-up pédagogique sur l’histoire de la peinture, ce spectacle de Hector Obalk cartonne depuis sa création. Comme nous ne l'avons toujours pas vu, nous ne pouvons en dire plus.
Oublie-moi
Théâtre
Vendredi 8 novembre 2024 à 20h30
Radiant-Bellevue
Notre avis : Un homme, une femme. Ils vont s'aimer, follement, et vivre une histoire d'un rose éclatant. Jusqu'à ce que la mémoire de l'un des deux leur fasse défaut... Succès incroyable depuis sa création il y a deux ans, Oublie-moi du duo Marie-Julie Baup et Thierry Lopez est de ces spectacles qui s'ancrent dans le réel façon comédie romantique pour, ensuite, mieux ausculter la cruauté de ce réel. Ne craignant pas les émotions sans pour autant tomber dans le pathos, le duo aux commandes a construit une aventure qui gagne en intensité au fil de la représentation pour finir par littéralement s'accrocher au cœur du public, qui ressort souvent les yeux humides.