Les 10 sorties de la semaine à Lyon (du jeudi 20 au mercredi 26 janvier)

Bons Plans

Vendredi 21 janvier

Théâtre | Les Subs, les théâtres du Point du Jour et de l’Élysée coordonnent leurs programmations le temps d’un week-end avec Azimuts, pour mettre à l’honneur des artistes émergents. Les Subs restent fidèles à leur ADN avec une large part de leur week-end consacrée à des expériences immersives grâce au projet Geyser de la structure de production genevoise le Grütli. La metteuse en scène Marion Thomas, ancienne assistante de Joris Mathieu, propose, casque sur les oreilles, une déambulation en forme de Kit de survie en milieu masculiniste avant que des performers queer, emmenés par Isabelle Chladek, s'emparent du dancefloor de La Boulangerie, avec Nos désirs font désordre, les vôtres sont-ils des ordres ?
Tarif : de 16€ à 30€

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Vendredi 21 janvier

Vin naturel | Comme ça pousse vite… Satriale, la cave à vin nature tenue par une bande d’amis aussi exigeants en matière de bons sons que de bons pifs, fête sa première année ce vendredi ! De la musique, du bon vin, et un accrochage de natures mortes, à partir de 18h, nous promettent-ils.
Tarif : gratuit
© Pierre Mahieu

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La 4ème édition du rendez-vous tout public de l’Ecole Urbaine de Lyon,  À l’Ecole de l’Anthropocène se tiendra au Rize à Villeurbanne la semaine prochaine ! Du 24 au 30 janvier, l’EUL nous invite à venir débattre, expérimenter et comprendre avec des scientifiques, artistes, activistes, politiques et associations sur les mondes urbains et le changement global. Son directeur, le géographe Michel Lussault, en détaille le contenu et dit sa volonté de s’adresser au plus grand nombre pour ce sujet passionnant et pluridisciplinaire par excellence : l’habitabilité de la Terre.

Vendredi 21 janvier

Projection / live | À Ground Zero, Vore-tex — c’est le nom de l’événement — se réapproprie l'espace digital et questionne les origines même de l’espace d’Internet, de 20h30 à…5h. Pour ce faire, il combine à la projection vidéo de neuf artistes (Kate Cooper, Anne Swaenepoël, Gaspar Willmann…) des lives et DJ sets dont on retient particulièrement celui des lyonnais PPC (Amses et Gablab) qui proposent un son à la croisée d’un dancehall écrété, de riddims footwork et grime mélancolique. Ou Adiciatz (spotted au Sucre en septembre dernier) qui articule « néo-folk scintillant et electronica torturé ».
Tarif : 6€
© Kate Cooper

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Vendredi 21 janvier

Cinéma | Le festival Télérama a débuté ce mercredi dans les salles ! Bien chamboulée et surtout amputée par presque cinq mois de fermeture, l'année cinématographique 2021 a tout de même accueilli 478 nouveaux films sur les écrans. Le festival nous offre deux semaines pour nous mettre à niveau sur les sorties de l’an passé et même anticiper sur celles des prochaines semaines, cela vous dit ? L'occasion de redécouvrir par exemple Julie (en 12 chapitres) ou Les Olympiades de Jacques Audiard. Dans les salles Art & Essai (détaillées dans l'article en lien), le tout à petit prix, jusqu’au 25 janvier.

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Samedi 22 janvier

Graphisme | Grand affichiste, refusant la com’ institutionnelle et son cortège de logos, Gérard Paris-Clavel a accepté que ses réalisations entrent au musée, car c’est une œuvre. Fortement engagée. À chaque fois, c'est la portée politique qui guide celui qui a eu 25 ans en 68 et qui en garde « la dynamique des transformations sociales ». Dans un parcours uniquement composé de ses affiches, c'est une série de slogans de manifestation qui réchauffent le Musée de l'Imprimerie et de la Communication Graphique.
Tarif : 8€

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Samedi 22 janvier

Expo | Pionnier de l’art numérique en France, Yacine Aït Kaci a réalisé de nombreuses œuvres et installations immersives, floutant les frontières entre le réel et le virtuel. En 2011, son personnage ELYX (un petit bonhomme tout simple au large sourire) se fait connaître sur les réseaux sociaux, puis devient carrément la mascotte de l’ONU et de la COP21. À la galerie 1111, l’artiste fait dialoguer des portraits d’ELYX avec des œuvres d’Andy Warhol, pape du pop art et artiste très influent pour l’art numérique.
Tarif : gratuit

Dimanche 23 janvier

Ciné-club | Les ateliers Mimesis — nouvel espace artistique et culturel à Villeurbanne — initient un nouveau rendez-vous dominical : le ciné-club. Ouverture du cycle dont le thème est porté sur les "Regards sur la jeunesse en France des 90's"  avec La fracture du myocarde (1990) de Jacques Fansten. Au départ tourné pour la télé, le film avait tant été apprécié en festival qu’il est sorti au cinéma. Charmant film d’enfants, sur un sujet grave, à découvrir à 18h.
Tarif : 3€ + adhésion annuelle 2€

 

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Dimanche 23 janvier

Humour | On les écoute toute la journée à la radio. Il est temps de pouvoir enfin les découvrir en vrai, sur scène. Les humoristes de France Inter reprennent la tournée de leur spectacle On ne plaisante pas avec l’humour, interrompue à cause du Covid, et font escale au Radiant à 16h. Le chef d’orchestre n'est autre que le chroniqueur Daniel Morin,  qui réunit sur scène et en alternance cinq de ses collègues — parmi lesquels Tanguy Pastureau, Fanny Ruwet, Alex Vizorek, Thomas VDB, Aymeric Lompret, Morgane Cadignan ou Waly Dia pourraient nous faire l’honneur de leur visite.
Tarif : de 36€ à 38€

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Mardi 25 janvier

Musique minimaliste | C’est l'âge de Glass à l'Opéra Underground ! Qui promet un véritable marathon dédié à Philip Glass, pendant cinq jours. À la rencontre du pape de la musique minimaliste mais pas que (on lui doit des concertos, des symphonies, des musiques de film et même des opéras). Ça démarre à 18h30 avec François Mardirossian, pianiste et co-directeur de Superspectives. On y retrouve évidemment les plus grandes pièces dont Metamorphosis et Mad Rush.
Tarif : gratuit

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Mercredi 26 janvier

Danse | Le Ballet du Grand Théâtre de Genève présente son programme Minimal Maximal, regroupant deux pièces généreuses en nombre de danseurs (vingt-deux pour chaque œuvre), et créées à partir de musiques contemporaines minimalistes : d’abord Fall, du grand chorégraphe belge Sidi Larbi Cherkaoui, connu pour la beauté fluide et délicate de son écriture. Puis, toute aussi fluide, mais marquée par une exécution des gestes plus rapide, l'écriture du grec Andonis Foniadakis ne manque, elle aussi, ni de grâce ni de délicatesse.
Tarif : de 13€ à 45€

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