Puggy
(Rock & Pop)Un an après la sortie de leur dernier EP Radio Kitchen, le trio belge Puggy débarque au Transbordeur pour montrer leurs nouveaux morceaux.
Un an après la sortie de leur dernier EP Radio Kitchen, le trio belge Puggy débarque au Transbordeur pour montrer leurs nouveaux morceaux.
Entre piano et musique électronique, Yann Tiersen revient sur scène dans une nouvelle performance solo après la sortie de son dernier album Rathlin from a Distance | The Liquid Hour. Et pour son passage à Lyon, il a choisi le Transbordeur.
Connu pour son titre Je te laisserai des mots, le Québécois Patrick Watson monte sur la scène du Transbordeur, armé de son piano, afin d'interpréter ses ballades mêlant sons organiques et textures électroniques.
Notre avis : Les compositions du musicien québécois semblent jaillir d'un lieu de mémoire niché quelque part dans l'imaginaire, plus que dans la réalité immédiate du présent. Son timbre, voilé d'une nostalgie réparatrice, s'entrelace aux cordes vibrantes d'une musique où se rencontrent Beatles et Satie, donnant naissance à des idylles sonores minimalistes et orchestrales. Son nouvel opus, Uh oh - à paraître fin septembre - prolonge cette exploration des territoires de la mélancolie atmosphérique. Conçu comme une œuvre collaborative, le disque confirme Patrick Watson dans son rôle d'artisan sonore.
Après le succès de leur premier album, le quintet Wet Leg est de retour depuis juillet dernier avec Moisturizer, son second projet, un album de chansons d’amour frénétiques et de ruptures cinglantes, plus percutant et mélodique.
Notre avis : Après un premier disque jubilatoire porté par les tubes entêtants On chaise longue et Too late now, et traversé de courants languides et âpres, le duo Rhian Teasdale et Hester Chambers était attendu à l'épreuve du feu avec son deuxième album. Force est de constater que le "sophomore album syndrome" n'a aucunement atteint le duo, devenu entre-temps un quintet. Sur Moisturizer, on découvre des chansons radieuses teintées d'une légère mélancolie, portées par une écriture affûtée et une sobriété implacable. Convoquant aussi bien l'univers post-punk que celui de la pop indé.
À mi-chemin entre battle et création chorégraphique, la huitième édition des Hip Hop Games revient au Transbordeu, cette fois-ci au rythme du Brésil, en écho au spectacle Boxe Boxe Brasil de la compagnie Käfig.
De retour depuis juillet avec son dernier album Self Titled, Kae Tempest propose un projet intime composé de douze titres écrits à la première personne pour se reconnecter à ses racines hip hop tout en rendant un hommage subtil à la pop contemporaine. La première partie sera assurée par l'Écossais Jacob Alon, entre Jeff Buckley et Rufus Wainwright.
Notre avis : Kae Tempest livre une œuvre conjuguant densité poétique et pulsations minimales, révélant une tension rare entre dépouillement et intensité. Artiste qui refuse depuis toujours de séparer corps et mots, intime et politique, musique et poésie, Kae Tempest sait faire résonner chaque vers, porté par une scansion presque oraculaire, dans un espace où la fragilité s'inscrit comme puissance critique. Les blessures sociales et intimes s'entrelacent dans ses lettres d'amour, devenant instrument de dévoilement. De ce fait, l'exploration de son identité nouvelle dévient une carte sensible du monde.
Actifs depuis 1985, les membres de The Young Gods ont sorti en juin dernier leur treizième album, Appear Disappear. Parcouru par les échos des désobéissances civiles, toujours entre rock psychédélique et musique électronique avec une touche de post-punk, ce nouvel opus de leur discographie sera le centre de ce prochain concert au Transbordeur.
Figure de proue du raï moderne, Dystinct propose un style hybride mêlant pop urbaine, sonorités orientales et afrobeat, le tout portant des paroles mélangeant le néerlandais, l'anglais, le français et le dialecte marocain.
Le temps d'une soirée, le Transbordeur s'évade de son registre habituel et accueille une soirée 100 % jazz à l'occasion du festival Un Doua de Jazz. À l'affiche, LGMX et leur réécriture brassband d'un répertoire house et techno, la formation Daida menée par Vincent Tortiller distillant un jazz électrique, sans oublier les DJs Ima:r et M. Bass pour un set à quatre mains.
Dub Echo célèbre sa cinquantième édition au Transbordeur, et à cette occasion seront conviés O.B.F Soundsystem, qui accompagne l'évènement depuis ses débuts, ainsi que les Dub-Stuy de Brooklyn, qui pointent rarement le bout de leur nez en dehors de leur studio. Du côté du Club Transbo, Nora Sigue (ex Myako) et Dub-4 s'occuperont de mettre l'ambiance.
Depuis plus de trente ans, le groupe californien Counting Crows propose un rock'n'roll teinté de soul et de folk. Après une pause de sept ans, le groupe est revenu sur la scène en 2021 avec un huitième album, Butter Miracle, Suite One, et les voici au Transbordeur, à la rencontre de leur public lyonnais.
Cinquième édition des soirées Transcendia, qui célèbrent l'union créative des collectifs lyonnais Everybody Trance et parisien Hors-Sol, avec à l'affiche Hewan, Aman, Subsism et Vardae pour une soirée entre trance, dub, techno et drum'n'bass.
Depuis son enfance à Lagos au Nigeria, Keziah Jonesa toujours perçu la musique comme une joie, un partage et un symbole de liberté. Aujourd'hui musicien engagé, il s'est inspiré des chœurs traditionnels écoutés par son père et des artistes préférés de ses sœurs pour créer un nouveau genre musical : le blufunk.
Fondé en 1999 par Eugene Hütz, Gogol Bordello est une joyeuse camaraderie de huit personnes s'amusant à mêler les traditions orientales, occidentales et latines. La première partie du concert sera assurée par Split Dogs, leurs riffs ravageurs et leurs paroles contagieuses, le tout porté par une énergie incendiaire sur scène.