La Part de trop
Découvrons cette semaine les limites de l'ennui et de la ringardise avec Bruno Meyssat. Le metteur en scène est décidément fidèle à lui même. Nous aussi. Alors non, on ne choque pas le spectateur en montrant deux pénis et un sein, en cassant trois assiettes et en mettant de la musique très fort. Quant à la tentative de "parler à notre inconscient", un peu de respect pour lui et pour les spectateurs par la même occasion devraient suffire. De la part du ciel au théâtre des Célestins, jusqu'au 1er avril