Tempête sur un plateau

Photo : (C) Naïve / Serge Derossi
«Beethoven suffirait amplement à remplir ma vie d'artiste». Tout est dit, François-Frédéric Guy n'a qu'un Dieu et vient le faire savoir le vendredi 8 février à la salle Molière. Au menu : la trilogie des sonates opus 31 dont l'inégalable, l'impétueuse Tempête. F.F Guy et Beethoven se sont trouvés, une quête plus puissante que la musique les unie, la «Tempête» de l'un électrise le piano de l'autre.