Benjamin Clementine
Notre avis : Du métro parisien à la scène des Nuits de Fourvière le londonien a fait du chemin avec pour seuls bagages un talent immense et unique et une volonté farouche de ne jamais se compromettre. C'est ce qui donne à son œuvre et à sa manière de la restituer ce goût si particulier, quelque part entre Satie et Nina Simone, Philip Glass et Gil Scott-Heron. Ça et ce physique charismatique qu'il semble trimbaler comme un fantôme, celui d'"Aleppoville", si l'on en croît son dernier clip, venu charmer (ou damner) l'âme de ceux qui l'écoutent hypnotisés.
Théâtres romains de Fourvière
6 rue de l'Antiquaille 69005 Lyon
Jeudi 29 juin 2017 à 21h
33€
Dans le cadre du festival Les Nuits de Fourvière