Jeudi 18 mai
Reggaeton |
Talentueuse, impertinente, un brin épaulée par sa spiritualité, Lazuli est une artiste singulière qui a déjà entamé sa petite révolution. Vite accompagnée par des producteurs de renom comme Izen, King Doudou ou Brodinski, la Lyonnaise continue de gravir les échelons. Et sort de son chapeau des musiques teintées de reggaeton, de dembow ou de dancehall, invitant le baile funk ou bien le rap, et parfois même tout à fois. À découvrir à Nuits sonores (Day 2).
Tarif : 37€
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Jeudi 18 mai
Open air |
Cette semaine, le cœur de la ville bat au rythme de Nuits sonores et partout à Lyon fleurissent des événements annexes alléchants. Comme l’open air X-Traboules, qui revient pour une quatrième édition au Jardin de la Grande Côte avec 3 jours de fête. DJ sets de la crème locale, friperies, food, pétanque… c’est extra.
Tarif : 5€
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Vendredi 19 mai
Conférence |
En parallèle des programmes musicaux de Nuits sonores s’est montée sa partie réflexive, Nuits sonores Lab dans l'enceinte de Heat. Un laboratoire artistique pour questionner le présent et le futur des cultures indépendantes, le rôle que les artistes et nos scènes musicales ont à jouer dans les mutations de nos sociétés. Ne pas louper la conférence-écoute de Tzusing ou de Katarina Gryvul, ou encore la talk sur le rôle du journalisme indépendant dans les musiques électroniques !
Tarif : gratuit
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Samedi 20 mai
Synthpunk |
Il n'y aura pas d'acteurs célèbres sur la scène du Sonic ce soir. Ni le Guépard, ni Pinot simple flic, mais une sorte d'évocation abstraite et musicale des personnages avec le duo synth-wave Blind Delon et le synth-punk Gerard Jugno et son grand Korg malade (lol). On devrait entrevoir le temps d'un soir le Synth-esprit.
Tarif : 10€
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Samedi 20 mai
Famille |
Le festival à hauteur d’enfant ! Mini sonores est l’occasion pour les familles de s’immerger dans l’univers du festival avec des ateliers de DJ pour les enfants, des concerts, des jeux, des visites des backtages spécialement pensés pour les petits. Ça se passe à Heat, samedi et dimanche !
Tarif : gratuit
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Samedi 20 mai
Festival |
Sons percussifs et grosses basses s'invitent à H7, pour une soirée co-programmée par Nuits sonores et les labels Polaar — porté par la lyonnaise Flore autour des bass musics — et Shouka, label tunisien qui oeuvre à une hybridation entre musique traditionnelles nord-africaines et musiques électroniques plus expérimentales.
Tarif : 24€
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Lundi 22 mai
Métal |
Ghost officie en une sorte de metal liturgico-sataniste. Avec tout le folklore qui va avec, le chanteur du groupe incarnant une succession de Papa Emeritus tous plus avenants les uns que les autres. À voir autant pour le spectacle dans le spectacle que pour la musique, étrangement inoffensive d'un point de vue sonique et quelque peu post-moderne dans l'intention. À l'image de leur dernier single : une reprise du très FM Jesus he knows mede Genesis. Attention à la crise de Foi, à la Halle Tony Garnier.
Tarif : à partir de 57, 50€
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Lundi 22 mai
Stand-up |
À quel moment cet ancien fonctionnaire a t-il décidé de tout plaquer pour monter faire des blagues sur scène ? En l'espace d'un an, Soso la barbe a troqué la bureautique contre une vie d'intermittence, foulé déjà le Panam ou le Jamel Comedy Club des grands à Paris, monté son propre plateau de stand-up, et écrit Sans Transition, son premier spectacle. C’est à l'Espace Gerson qu’il faudra se rendre pour savourer une heure de ses meilleures punch, rythmées toujours par beaucoup d’impro — car c’est ici qu’il excelle.
Tarif : 10€
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Mardi 23 mai
Cirque |
Coup d’envoi de l’incontournable festival de cirque contemporain UtoPistes avec le retour de Ali, la pièce du trampoliniste Mathurin Bolze qui délaisse ici son agrès pour faire duo avec Hédi Thabet, unijambiste pour une symphonie à 3 jambes au TNP. Performance sensible devenue un classique depuis 2008.
Tarif : de 5€ à 14€
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mercredi 24 mai
Exposition |
Né en 1927 à Budapest, déporté avec sa famille à Auschwitz, Miklos Bokor commence à dessiner et à peindre en 1947, marqué par le traumatisme des camps. Encouragé ensuite par les poètes André du Bouchet et Yves Bonnefoy, dont il fait la connaissance après son installation à Paris en 1960, l’artiste hongrois oscille entre paysages et représentations spectrales de présences humaines. Suite à une donation, le Musée des Beaux-Arts présente, au sein des salles du XXe siècle, cinq très grandes toiles et une vingtaine de dessins de Miklos Bokor, disparu à Paris en 2019.
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