Vendredi 22 septembre
Danse |
Tout juste créé en mai dernier et passé par Avignon cet été, Anne Teresa De Keersmaeker retourne aux sources avec ce travail dont elle parle comme d’une extension infinie de la marche comme principe élémentaire de la danse. En musique, grâce au blues de Robert Leroy Johnson, le lied romantique de Schubert et la musicienne Meskerem Mees. EXIT ABOVE - d'après la tempête est à voir à l'Opéra, à 20h.
Tarif : de 10€ à 40€
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Vendredi 22 septembre
Concert |
Dans le spectre des musiques électroniques, de belles balades se profilent jusqu'en décembre. À commencer par ce vendredi au Sonic avec Sari, artiste plurielle, chanteuse et idole Tokyoïte ultra lookée qui viendra délivrer son electro pop tendrement autotunée.
Tarif : 7, 59€
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Vendredi 22 septembre
Clubbing |
Même jour, quai d’en face, au Sucre : une expérience davantage club s’offre à nous avec le label TEMƎT du DJ et producteur nantais Simo Cell, maître dans l’art d’allier les sonorités bass music à des versants trap, dancehall, drill, voire hyperpop. Il invite le génial Hyas et la Berlinoise Darwin.
Tarif : de 10€ à 14€
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Vendredi 22 septembre
Vernissage |
Deux résident.es de Gamut (Uma Bao et La Patate Bleue) vernissent leur exposition en guise de sortie de résidence dans cet ancien fort militaire de Saint-Just réhabilité en lieu d'expression artistique. L’occasion de découvrir cet endroit suspendu à la colline, de profiter d’une jam ouverte autour d’un verre, et de déambuler dans un parcours artistique participatif (jeux et fresque collective en lien avec les œuvres). De 17h à 22h.
Tarif : entrée libre
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Samedi 23 septembre
Danse |
Jongleur de formation (comme Phia Ménard), passé à la danse contemporaine Alexander Vantournhout se définit lui-même comme "circographe" ! Depuis les années 2010, il crée des pièces iconoclastes, oscillant toujours entre cirque et danse, aux dispositifs singuliers et mettant en scène des objets non moins singuliers : boule de bowling, chaussures cloutées d’escalade, gants de boxe, marteau au manche démesuré… Nouvelle création pourhuit interprètes évoluant sur… un grand mur vertical de cinq mètres sur neuf. Foreshadow, à voir aux Célestins à 17h.
Tarif : de 12€ à 28€
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Samedi 23 septembre
Seule en scène |
Sa seule présence sur scène suffit à nous achever. Armée d’un silence asphyxiant — et c’est tout le génie de son jeu, la Lyonnaise Charlotte Creyx fait la moue, grimace, maîtrise à la perfection chacun de ses muscles faciaux — forçant le public à rester pendu à ses lèvres pour exploser au premier mot prononcé. Agrippée à son micro comme pour s’assurer un dernier point de contact avec le monde réel, elle largue ses bombes, sortes de réflexions fleuve d’une activité neuronale manifestement intense et anarchique dont elle partage généreusement certaines réflexions. À découvrir à l’Espace Gerson les samedis jusqu'au 28 octobre.
Tarif : de 11, 50 € à 17, 00 €
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Samedi 23 septembre
Ciné-concert |
Aux Astierophiles et autres Kaamelottologue qui auraient malencontreusement raté l'une des quatre soirées de ce ciné-concert présenté au printemps dernier à l'Auditorium – on doute qu'il y en ait beaucoup connaissant la détermination de ces gens-là mais une jambe cassée ou une triple panne de réveil le matin du coup d'envoi des réservations ou les deux ça arrive même aux meilleurs – la Halle Tony Garnier propose ce méga-rattrapage avec pleins de gradins à remplir de petits pédestres et autres semi-croustillants amateurs. On connaît l'Histoire, le film est très chouette et Astier a tout fait de A à Z, même la musique. Et c'est ce qui est rare avec ce genre de ciné-concerts : que l'image et l'audio soit signées du même gars.
Tarifs : de 39 à 69 €
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Samedi 23 septembre
Danse |
La sur-vitaminée et adepte du krump Nach présentera aux Usines Fagor une nouvelle conférence dansée, cherchant toujours un équilibre fragile entre parole et mouvement. Pour la chorégraphe la parole est une nécessité, le partage de l’intime une révolution, celui des processus un moteur.
Tarif : de 9€ à 18€
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Dimanche 24 septembre
Expositions |
Le Musée d’art contemporain inaugure trois nouvelles expositions, consacrées respectivement au manga et ses univers connexes, aux ruines et au corps… Illustratrice, dessinatrice, peintre, auteur de mangas, Aya Takano s'inspire de tous les arts, des estampes érotiques de la période Edo à l’impressionnisme, d’Osamu Tezuka à Gustav Klimt, des arts classiques aux arts populaires. Elle sera accompagnée, à l’étage au-dessus, par l’artiste britannique Rebecca Ackroyd, découverte lors de la Biennale d’art contemporain 2019, qui explore l’idée de ruines et de traces du passé. Enfin, le musée présente le second volet d’"Incarnations", exploration dans les collections du musée du thème du corps. On y verra (ou reverra) des œuvres de Bruce Nauman, Edi Dubien, Claire Tabouret, ORLAN, Bernard Venet…
Tarif : de 6€ à 9€
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Lundi 25 septembre
Théâtre |
Une équipe de l’ENSATT aux commandes, pour un texte shakespearien mis enscène par une artiste associée au Théâtre des Clochards Célestes, Lucile Lacaze, qui avait fait son travail de fin d’étude sur Beaucoup de bruit pour rien. Cette fois l’approche des personnages promet d’être intimiste, « en gros plan ». Dans la foulée, elle reprend "Notre jeunesse", les 4, 6 et 7 octobre à l'Elysée. Mesure pour mesure, à voir à 16h30.
Tarif : 14€
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