Jeudi 6 juillet
Sono mondiale |
Si vous aimez les Musiques du Monde et les jeudis (et plus encore les jeudis où résonnent des Musiques du monde), alors il vous faudra profiter à plein de l'édition 2023 de ce festival longtemps incontournable des étés lyonnais. C'est en effet la dernière fois que le Jardin des Chartreux accueillera l'événement, mais bon, haut les cœurs, il reste quatre jeudis à combler. Ce jeudi, des musiques venues d'Afrique résonneront avec la soirée Trad Explosion.
Tarif : gratuit
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Vendredi 7 juillet
Clubbing |
Au Sucre cet été, le mini club traditionnel du vendredi mute, pour expérimenter un nouveau format plaçant la danse au cœur du club. Qui s’est entouré pour cela de chorégraphes et collectifs de talent pour construire une programmation pointue où l’on s’aventure chaque semaine dans une thématique différente. Reggaeton, waacking, gabber, twerk, krump… un dialogue entre musiciens et musiciennes, danseurs et danseuses s’instaure, le public s’abandonne à ses sensations, explore de nouvelles attitudes.. Ce vendredi, ça claque ! avec le waacking (de l’onomatopée whack qui traduit le son d’une gifle), cette danse née dans les années 1970 dans les clubs LGBT+ de la communauté noire et afrolatino. Groove, funk, disco et liberté d'expression sont convoqués par le crew Funky French League, et les stars du waacking O'Soul.
Tarif : 8€ avant minuit, 12€ après
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Samedi 8 juillet
Camp Climat |
Du 7 au 9 juillet, Alternatiba propose le Camp Climat Rhône : trois jours d’écologie sociale et festive sur le nouveau site du CCO dans le quartier de l'Autre Soie. Au programme de ce jour, des formations sur les actions non-violentes, l'intelligence collective au service du militantisme, des tables rondes pour tout savoir sur l'écologie populaire face à l'écologie des privilèges... et aussi des concerts (Philemone, Jimena Angel, Nickodemus ce samedi). Bref tout l'arsenal pour lutter mieux. Ce sera jamais de trop ! Au CCO La Rayonne, de 9h à 17h
Tarif : 5€ ou 10€
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Samedi 8 juillet
Exposition |
En résonance avec Lyon BD Festival, et dans la continuité de l'exposition de David Snug, Chromatique accueille l'artiste lyonnaise Floxxi — illustratrice et autrice de bande-dessinée — pour une exposition immersive mettant à l'honneur le 9e art. “Pour toutes ces personnes que j’ai aimé et que j’aime [...] une cartographie du fantasme, du souvenir, du désir et de la peur à la frontière de la fiction et du réel cotoyant le lien politique qui unit le public à l’intime." nous dit-elle.
Tarif : gratuit
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Samedi 8 juillet
Marionnettes |
Ce sont à nos yeux parmi les meilleurs marionnettistes que l’on connaisse. La troupe berlinoise des Familie Flöz revêt encore ses masques sur le corps des acteurs et, sans parole, s’associe à l’ensemble Franui, groupe instrumental autrichien, que le festival a plusieurs fois invité. Ils créent alors Himmelerde. L’un et l’autre vus séparément ont toujours été un enchantement, alors les deux ensemble… À l’Opéra de Lyon, dans le cadre des Nuits de Fourvière, du 6 au 8 juillet.
Tarif : de 20€ à 39€
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Dimanche 9 juillet
Exposition |
Le musée Cinéma et Miniature accueille pour une première internationale une exposition sur le travail de Drew Struzan. Vous ne connaissez peut-être pas son nom mais sûrement son travail. Indiana Jones, Star Wars, Hook, Helleboy, toutes ces affiches de vos films préférés réalisées par l’artiste.
Tarif : de 9, 90€ à 13, 90€
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Lundi 10 juillet
Blues |
À l'instar du guitar heroe Yves Duteil, ces deux là ont sérieusement « la guitare qui les démange, alors ils grattent un petit peu ». Et même énormément. Joe Bonnamassa a été élevé à l'écoute du Panthéon blues-rock d'Albio (Eric Clapton, Rory Gallagher, Jimmy Page...) et en a tiré une approche également sophistiquée (alambiquée ?) du blues. Prodige (il a fait la première partie de BB King à 12 ans) et véritable stakhanoviste de la composition (une vingtaine d'albums en une vingtaine d'années), il fait son retour à Vienne, 13 ans après. Rican, Joe Louis Walker est davantage versé dans la tradition du rhythm'n'blues chicagoan, ce qui donnera aux spectateurs un panorama assez large du genre. À déguster chez Jazz à Vienne.
Tarif : de 4€ à 60€
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Lundi 10 juillet
Exposition |
Né en 1927 à Budapest, déporté avec sa famille à Auschwitz, Miklos Bokor commence à dessiner et à peindre en 1947, marqué par le traumatisme des camps. Encouragé ensuite par les poètes André du Bouchet et Yves Bonnefoy, dont il fait la connaissance après son installation à Paris en 1960, l’artiste hongrois oscille entre paysages et représentations spectrales de présences humaines. Suite à une donation, le Musée des Beaux-Arts présente, au sein des salles du XXe siècle, cinq très grandes toiles et une vingtaine de dessins de Miklos Bokor, disparu à Paris en 2019.
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Mardi 11 juillet
Cirque |
Ça fait longtemps qu’on les aime, les Petit travers ! Le collectif de jongleurs a fait partie des programmations de Biennales de la danse antérieures. Ils savent mêler leurs balles à de la musique. Ici, dans Formule un seul jongleur (Julien Clément) et un batteur (Pierre Pollet) encerclés par les spectateurs. On en redemande ! À la Maison Sociale Cyprian les Brosses (Villeurbanne) à 19h.
Tarof : entrée libre
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Mercredi 12 juillet
Musique & performance |
Déjà le pitch est priceless comme disent les jeunes (comprendre : l'argument commercial vaut son pesant de cacahuètes) : « Hoods Flakes naît de l'engagement de dix artistes passionnés par l'univers du braquage ». Il y a comme ça des passions fédératrices et rassérénantes. Toujours est-il que les dix en question - danseur.euse.s, musicien.ne.s, Djs, stylistes et vidéastes - tissent à partir de ce matériau des performances aux scénarios étonnants et changeants. Personne ne bouge ! Aux Subs, à 18h.
Tarif : entrée libre
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