Cannes - Jour 7. Le Queer lui va si bien...
"Behind the candelabra" de Steven Soderbergh. "As I lay dying" de James Franco. "Grigris" de Mahamat-Saleh Haroun. "Les Salauds" de Claire Denis.
"Behind the candelabra" de Steven Soderbergh. "As I lay dying" de James Franco. "Grigris" de Mahamat-Saleh Haroun. "Les Salauds" de Claire Denis.
"Behind the candelabra" de Steven Soderbergh. "As I lay dying" de James Franco. "Grigris" de Mahamat Saleh Haroun. "Les Salauds" de Claire Denis.
Behind the candelabra de Steven Soderbergh. As I lay dying de James Franco. Grigris de Mahamat Saleh Haroun. Les Salauds de Claire Denis.
"All is lost" de J.C. Chandor. "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche
"All is lost" de J.C. Chandor. "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche
All is lost de J.C. Chandor. La Vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche
"Nebraska" d'Alexander Payne. "Michael Kohlhaas" d'Arnaud Des Pallières. "Magic Magic" de Sebastian Silva.
"Nebraska" d'Alexander Payne. "Michael Kohlhaas" d'Arnaud Des Pallières. "Magic Magic" de Sebastian Silva.
Nebraska d'Alexander Payne. Michael Kohlhaas d'Arnaud Des Pallières. Magic Magic de Sebastian Silva.
"The Immigrant" de James Gray. "Only lovers left alive" de Jim Jarmusch. "La Vénus à la fourrure" de Roman Polanski.
"The Immigrant" de James Gray. "Only lovers left alive" de Jim Jarmusch. "La Vénus à la fourrure" de Roman Polanski.
The Immigrant de James Gray. Only lovers left alive de Jim Jarmusch. La Vénus à la fourrure de Roman Polanski.
En couronnant ce qui est incontestablement le meilleur film de la compétition, "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche, Steven Spielberg et son jury ont posé un beau point final à un 66e festival de Cannes passionnant en son centre, sinon dans...
En couronnant "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche, incontestablement le meilleur film de la compétition, Steven Spielberg et son jury ont posé un beau point final à un 66e festival de Cannes passionnant en son centre, moins stimulant dans ses...
De Ziad Doueiri (Fr-Belg-Liban-Qatar, 1h45) avec Ali Suleiman, Reymonde Amsellem...
Un film de Ziad Doueiri (Fr-Belge-Lib-Gat, 1h45) avec Ali Suliman, Reymonde Amsellem...
En couronnant ce qui est incontestablement le meilleur film de la compétition, La Vie d'Adèle d'Abdellatif Kechiche, Steven Spielberg et son jury ont posé un beau point final à un 66e festival de Cannes passionnant en son centre, moins stimulant...
De Ziad Doueiri (Fr-Belg-Liban-Qatar, 1h45) avec Ali Suleiman, Reymonde Amsellem...
Quelque part entre Simenon et Weerasethakul, Alain Guiraudie installe une intrigue de film criminel sur les bords d'un lac transformé en paradis homo, interrogeant les mécanismes du désir et l'angoisse de la solitude. Drôle et envoûtant....
Dans l'inflation chronique des sorties cinéma, faisons un petit focus sur trois films qui n'ont en commun ni leurs sujets, ni leur qualité, mais seulement d'être réalisés par trois femmes. Christophe Chabert
L'expression "anarchisme pop" est-il un oxymore ? Peut-on à la fois foutre un bordel monstre et le faire dans une explosion de joie, de couleurs et de (...)
Quelque part entre Simenon et Weerasethakul, Alain Guiraudie installe une intrigue de film criminel sur les bords d'un lac transformé en paradis homo, interrogeant les mécanismes du désir et l'angoisse de la solitude. Drôle et...
Quelque part entre Simenon et Weerasethakul, Alain Guiraudie installe une intrigue de film criminel sur les bords d'un lac transformé en paradis homo, interrogeant les mécanismes du désir et l'angoisse de la solitude. Drôle et...
Eldorado commercial à la formule perdue, le cinéma français populaire de qualité des années 60 et 70 se déguste aujourd'hui avec un zeste de nostalgie et un fond (...)
Étrange sensation face à cette rencontre entre la dynastie Smith et l'ex-prodige déchu Shyamalan, celle d'assister à un film dont la simplicité le tire à la fois vers la beauté et vers l'ennui, à une œuvre coincée entre l'épure et...
Étrange sensation face à cette rencontre entre la dynastie Smith et l'ex-prodige déchu Shyamalan : celle d'assister à un film dont la simplicité le tire à la fois vers la beauté et vers l'ennui, à une œuvre coincée entre l'épure et...
Étrange sensation face à cette rencontre entre la dynastie Smith et l'ex-prodige déchu Shyamalan, celle d'assister à un film dont la simplicité le tire à la fois vers la beauté et vers l'ennui, à une œuvre coincée entre l'épure et...
Premier long-métrage d'Antonin Peretjatko, cette comédie qui tente de réunir l'esthétique des nanars et le souvenir nostalgique de la Nouvelle Vague sonne comme une impasse pour un cinéma d'auteur français gangrené par l'entre soi. Qui...
Premier long-métrage d'Antonin Peretjatko, cette comédie qui tente de réunir l'esthétique des nanars et le souvenir nostalgique de la Nouvelle Vague sonne comme une impasse pour un cinéma d'auteur français gangrené par l'entre soi. Qui...
Premier long-métrage d'Antonin Peretjatko, cette comédie qui tente de réunir l'esthétique des nanars et le souvenir nostalgique de la Nouvelle Vague sonne comme une impasse pour un cinéma d'auteur français gangrené par l'entre soi. Qui...